Le blog de Ange_et_demon-Comte-Vlad

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De Blain parmi quelques commentaires relatifs à la méthode d’éducation des « sixties »…

Comme toi, j’ai connu l’époque de l’éducation au martinet avec une maman sévère mais juste et aimante. Mon premier martinet, c’est le Père Noël qui me l’a apporté pour mes 6 ans. Le martinet était suspendu bien en vue dans la cuisine comme dans beaucoup de foyers. J’avais deux petites sœurs qui avaient 5 et 7 ans de moins aussi il est resté accroché au mur durant toute mon adolescence et il a beaucoup servi. J’étais scout jusqu’à 18 ans et je portais des shorts très courts et maman m’avait même acheté une culotte tyrolienne en cuir et très courte que j’aimais beaucoup porter.

 

A la moindre incartade, désobéissance ou mauvaise note, maman détachait le martinet et nous corrigeait sur le haut des cuisses. Pour les fautes plus graves maman n’hésitait pas à baisser mon short et ma culotte ; nous nous laissions faire sans protester par peur du doublement de la correction et parce qu’à l’époque la déculottée au martinet était une punition courante et banale. Maman était fière de son martinet et aimait en vanter les mérites lors des discussions entre mamans. Cela ne nous empêchait pas d’adorer maman qui savait aussi être généreuse et nous faire beaucoup de câlins.

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 …/… J’avais une sœur jumelle, Martine, et c’est maman qui choisissait nos vêtements car, pour elle, nous étions des gamins que l’on ait 7 ou 17 ans. Maman m’achetait des shorts très courts que je devais porter même l’hiver. Je me souviens de la mode des shorts en skaï pour garçons ou filles; maman nous en avait acheté 3 à chacun de couleur beige, noire et rouge. Ces shorts étaient inusables et je les ai portés de la 4ème à la première.

 

J’aimais ces shorts « mixtes » même si avec mes cheveux longs, on m’appelait souvent « mademoiselle » et que l’on on nous prenait pour des jumelles. Au collège privé, j’avais la réputation d’être « une fille manquée » et je jouais à des jeux de fille avec mes copines ; j’étais doué pour la corde à sauter. Contrairement à ma sœur, je travaillais mal en classe et j’ai redoublé ma sixième. A cette nouvelle, maman très en colère m’avait emmené chez la droguiste du coin pour acheter mon premier martinet dont elle m’avait souvent menacé et promis l'achat, mais je n’y croyais plus !
J’étais rouge de honte et j’avais les larmes aux yeux lorsque maman commanda un martinet. La droguiste détacha avec sa perche 2 grappes de martinets ; l’une traditionnelle avec des lanières en cuir et l’autre toute nouvelle avec des lanières en plastique multicolores.

 « Pour les fillettes, je conseille plutôt le martinet aux lanières en plastique mais pour votre grande fille les lanières en cuir seront sans doute plus efficaces. Je conseille à mes clientes de fouetter uniquement sur le haut des cuisses ou sur les fesses nues, la bonne vieille déculottée qui a fait ses preuves ! »

Bonjour la honte devant les clientes ! elle me prenait pour une fille et en plus elle conseillait les déculottées ! Bien sûr, je savais que dans la plupart des foyers il y avait un martinet et que les mamans n’avaient aucune honte à en vanter les mérites. Maman hésita dans son choix, finalement vu le prix modeste de 1,15 F, elle en choisit un de chaque lot. Elle accrocha celui en cuir au dessus mon bureau et l’autre en plastique fut exposé dans la cuisine. Maman rassura Martine en lui disant que le martinet était pour moi, par pour elle car elle était sage et travaillait bien en classe ! 

Ma 1ère déculottée, je l’ai reçue le lendemain après m’être disputé avec Martine et l’avoir giflée ; elle était allée pleurer comme d’habitude dans les jupes de maman. Après une leçon de morale, elle a envoyé ma sœur chercher le martinet dans ma chambre. Elle était toute contente quand elle a tendu le martinet à maman :

 « C’est bienfait pour lui, il est trop méchant, il mérite une fessée cul nu !» 

  « Tu as raison ma chérie, je vais lui apprendre à respecter les filles ! »

Je maudissais Martine mais je dus me soumettre sans oser protester et j’ai gardé un souvenir très cuisant de cette fessée qui dura une éternité puis j’ai dû demander pardon à cette rapporteuse de Martine et je suis resté une demi-heure au piquet les fesses à l’air ! Durant plusieurs années scolaires, j’ai eu comme toi droit au martinet maternel pour chaque mauvaise note mais je n’y voyais rien à dire sachant que c’était pour mon bien. J’en parlais sans honte même à mes copines de classe qui m’avaient surnommées « Miss Martinet » et qui adoraient que je leur raconte.  Certaines ne comprenaient pas qu'un grand ado comme moi se laisse punir ainsi comme un gamin…. même si à l'époque j'étais loin d'être le seul de ma classe à être sous la menace permanente du martinet ; en 1ère, d'après mon enquête, nous étions 3 filles et 2 garçons dans ce cas ! C'était les beaux jours du martinet qui était à l'honneur !

Dim 17 avr 2011 11 commentaires
J'ai bien aimé le commentaire du jeune homme de Première dont le martinet caressait encore les fesses à cet âge. Cela se passait un peu comme cela chez moi dans les années 60. Mauvais élève d'un établissement privé de la 6e à la Terminale, je n'avais aucune gêne de dire à mes copins et copines que ma mère me corrigeait encore sévèrement au martinet en Première, en Terminale et bien oui en première année de fac. La plupart des élèves semblaient trouver cela cool et original et moi aussi. On vient qu'on s'habitue à ce régime et qu'on trouve tout à fait normal de manger de bonnes volées par sa mère à 18-20ans. Je suis heureux de voir qu'ily avait d'autres garçons dans ma situation et que j'étais loin d'être une exception. J'aimerais correspondre avec ce garçon car j'étais aussi ce grand ado en short jusqu'en Première qui aimait et se laissait punir sur les cuisses et les fesses comme un gamin par sa bonne maman. Elle me punissait la plupart du temps pour ma paresse habituelle et les mauvaises notes que je méritais, mais surtout elle avait l'art de me surprendre quand je me branlais en solitaire dans ma chambre. Elle me flanquait alors de ces roustes qu'on ne peut oublir. Voilà j'ai beaucoup d'autres choses raconter sur mes années martine si Blain veut bien communiquer avec moi.
Yvan - le 12/07/2012 à 00h10
Je crois qu'à cette époque où «le martinet était à l'honneur » dans les familles et aussi dans certains établissements scolaires privés, il servait, je pense, à nous maintenir dans un infantilisme difficile à imaginer aujourd'hui.On nous considérait comme des enfants bien tard dans l'adolescence et inmanquablement on se conduisait comme de vrais enfants, souvent pires que des enfants. Le martinet, c'était inévitable, une quasi fatalité et l'on se surprenait, comme dans mon cas, de ne pas le recevoir plus souvent, tant il y avait de règles et de consignes à suivre. Cela développait chez nous un état d'anxiété et contribuait ainsi à nous maintenir dans ce climat d'enfance coupable. J'ai même vu des cas évidents où des garçons au collège et au lycée qui faisaient des coups pendables et gratuits pour pouvoir se retrouver dans le bureau de la directrice et recevoir des raclées. Il n'était pas rare de voir revenir dans la classe de grand ados de Seconde et de Première, dont certains encore en culotte courte, tout en pleurs et en gémissements du bureau de la directrice. C'était vraiment pathétique à voir. Comme pour Blain, j'ai eu auusi droit au martinet maternel jusqu'en première année de fac. Jai un peu honte de dire cela aujourdhui, mais se faire déculotter et fesser par sa mère à 20 ans,c'est un événement marquant et dramatique dans la vie d'un jeune homme. Je ne dirais pas que c'était le bon temps, mais c'était la vraie couleur et la vraie saveur de mes années martinet 50 et 60.
Yvan - le 12/07/2012 à 19h11
Je trouve cela un peu coquin ce que raconte Blain. J'ai aussi de la difficulté à croire que sa maman et la direction de son lycée acceptaient qu'il se laisse pousser les cheveux comme une fille. Dans mon lycée privé, les garçons qui refusaient de se faire couper les cheveux assez ras le bol étaient sanctionnés et même menacés d'expulsion, Bien, disons qu'il y avait des lycées privés plus laxistes que d'autres. Blain ne cache pas la délectation et même la volupté qu'il éprouvait lorsque sa mère le corrigeait« sur le haut des cuisses» ou lorsque «qu'elle baissait mon short et ma culotte». Il se laissait faire sans protester non pour les fausses raisons qu'il mentionne ici, mais parce qu'il éprouvait un plaisir sexuel évident, sûrement dans les dernières années en tout cas, à recevoir ces fessées de la main de sa mère. Je n'ai aucune peine à imaginer comment pouvait se sentir ce grand ado,encore en culotte très courte à 18 ans, lors de ces nombreuses corrections au martinet. Avait-on oublié qu'il avait une une sexualité active,ce jeune homme.Elle suinte pourtant de toute part dans son texte.Il semble que passé 17 ou 18 ans, les garçons de type alpha comme lui s'accomodent très des punitions corporelles qui leur sont infligées,en viennent même à les convoiter et en tirent inévitablement une très grande satisfaction la plupart du temps, de nature homoérotique(rêves oniriques,masturbation, etc.) Voilà que sa satisfaction est à son comble et il sent le besoin de faire dans le menu, sans honte, à ses copines le récit des fessées disciplnaires qu'il reçcoit de sa mère,qui sont en fait pour lui et ses copines des féssées érotiques ou érotisés déguisées. Ce n'était donc pas très sain sur le plan psychologique cette éducation des sixties au martinet puisqu'on pouvait passer en contrebande, des motivations troubles, des désirs incestueux, des pulsions sexuelles en guise d'une discipline familiale ou scolaire. Il faudrait relire les études de Freud sur la discipline pédagogique en regard des commentaires de Blain.
Yvan - le 14/07/2012 à 18h19
Je crois tout de même qu'à cette époque une certaine égalité entre les sexes commençait à se manifester. Tant à la maison qu'à l'école, les garçons et les filles étaient punis également et de la même façon;on voit même arriver sur le marché les vêtements unisexes comme les shorts,dont parle le commentateur,qui,si je me rappelle bien, étaient très courts, quelques-uns au ras des fesses. On voit aussi poindre «l'homme rose» qui se révèle aussi habile et même plus que les filles à la corde à danser. On imagine mal aujourd'hui un grand ado de seconde ou de première en culottes courtes maniant la corde à danser avec ses compagnes du même âge, mais en vérité deux ou trois ans plus vieilles que lui sur le plan psychologique. Cette imageest embématique de l'époque. Cela a existé, je l'ai vécu. Il y avait encore, au début des sixties une certaine ingénuité une pureté des moeurs au sein de l'école et de la famille qui s'exprimait par le triomphe des valeurs de l'obéissance et de respect envers l'autorité sous toutes ses formes et l'acception pleine et entière de notre condition d'enfant ou d'adolescent. Chacun ou chacune savait garder sa place, et adolescents, nous ne prétendions pas être des adultes avant le temps et nous rebeller contre nos parents; notre tenue vestimentaire et le martinet sur les fesses et les cuisses était là pour nous rappeler èa l'ordre.Nous avions aussi conscience, quelquefoisbien à tort, que nos parents nous corrigeaient toujours pour notre bien. C'est bien souvent cette« illusion» qui nous permettait d'accepter stoïquement, mais jamais de bonne grâce, les châtiments corporels qui nous étaient infligés bien tard, il me semble, dans l'adolescence. J'ai goûté au martinet très tard, passé la vingtaine pour de vrais bonnes raisons et je me demande aujourd'hui, compte tenu du relatif succès que j'ai connu dans ma vie,si ce ne fût pas une vraie bénédiction.
Yvan - le 26/07/2012 à 19h33
Il est fort intéressant de revisiter un blog auquel on a participé il y a plus d'un an. Je n'ai rien à ajouter à mes remarques, si ce n'est que fus l'un des seuls élèves de seconde dans un lycée privé de province qui ait reçu, à ma grande honte une fessée de la directrice pour avoir fait du grabuge dans le laboratoire de chimie avec un autre élève et brisé accidentellement quelques éprouvettes et pipettes. C'était la façon dont on punissait les élèves turbulents et bagarreurs au début de sixties. Ce fut aussi un fait marquant dans ma vie. J'étais resté en culotts courtes, sur l'avis de mes parents qui me trouvaient encore trop jeune, contrairement à la majorité des autres élèves qui portaient le pantalon. Le commentateur de Blain estime qu'en Première, il y avait au moins trois filles et deux garcons qui étaient encore punis au martinet dans sa classe. Je crois qu'il est très minimaliste car selon mon experience è ce niveau, il y en avait plus que cela, peut-être plus du tiers d'une classe de 30 élèves. Je trouve aussi naïve oire meme saugrenue la remarque d'une copine du comentateur qui lui reproche d'acepter de se faire encore corriger au martinet à son age. Comme si nous étions libres dans les sixties d'accepter ou non le châtiment corporel imposé! C'est vraiment ridicule depenser qu'on pouvait avoir le choix d'être puni et de ne pas être puni.La punition décrétée par l'autorité omniprésente ou omnipotente, il n'y avait rien à faire, ni à redre dire, il fallait subir les foudres du père et de la mère. Gare à l'insolence. Cela pouvait aggaver la peine et le châtiment. Incidemment, je me demande encore à près de cinquante ans de distance si le fait de porter des culottes si courtes si tard ne prédisposait pas ou n'incitait pas les parents à nous corriger goulûment sur les fesses et sur nos cuisses. . Je me rappelle avoir porté des culottes courtes très courtes (1cmou 2cm de la fourche)jusqu'à 18 ans et assis on pouvait presque voir les deux lobes de mon derrière. Ma mère surtout quand j'étais insupportable ne cessait de me menacer de me chauffer mes deux beaux quartiers de lune si je n'arrêtais pas de l'importuner. Jes crois encore que cette tenue si pratique favorisait les corrections sur les fesses et surtout sur les cusses et lesjambes. Qu'en pensez-vous?
Yvan - le 22/05/2013 à 20h15
acette epoque la fessée etait donnée par les maman qui elle en avait recu par leur mere la maitresse d ecole la directrice les garcons etaient plus enfant que les filles les shorts et les culottes courte favorisée le martinet sur les cuisses un grand adolecent pouvait recevoir le fessée cul nue en generale ces fesséecomplete donnée a la main et au martinet l enfant pouvait la recevoir tres rarement apropos du martinet sur les cuisses pourles mamans il y avait la menace et l adolescents provoqué sa mere maman tu maies fesse moi il ne faut pas oublier que les mamans trouvé la fessée justifié elle en parlée entre maman ce faire deculotter par sa maman ce est pas grave mais la fessée par une prof eait humiliant par l adolescant et puis lesfeseuses avait u des enfants il ni y avais pas de sadime ces fesse etaient meritée recevoir une fesée par une directrice malgres la severitée les femmes aimaient les enfants j ai toujours en ayant eu une fessée beaucoup d affection avec ma fesseuse je savais qua l epoque recevoir une feéssée etait une relation partagée s etait un acte d amour la lecon de morale la fessée l piquet a genoux les fesses brulente et puis le pardon de la maman ou de l enseignante apres la fessée s etait finie en pension j avais le coix de la fessée ou la punition devoir mes parens jamais une enseignant ma punis de voir ma mere pour ses jeune femme nous etions des grand adolecent qu il falé materné les filles etaient moins gamine que les garcons nos tenue courtes faite pour la fessée plaisé a nos mamans a nos enseignantes il y avait des ados presé de uitter les culottes courtes e pui les garcons non pressée ces culottes courtes a cette epoque on commenc a metre des jans les mamans ne voulait pa veillir un enfant en culotte courte etait encore le grand bebé de sa maman ou de son eseignantes les femmes et la fesée avaitle pouvoir de pardoner a son eleves qui etaiit encore un petit garcon les mamans severe mais tendre et maternelle avec leurs eleves leurs enfants le papa donné rarement des fesséesil n avais pas le temps de le faire les mamans et les enseignantes tres complice dans la fessée du garcon ou de la fille
jean marie - le 12/11/2013 à 02h04
Mon père veuf et remarié avec ma belle mère très sévère. Ma soeur et moi étions régulièrement punies au martinet. Couchées sur le dos sur une table basse, déculottées, mon père me tenait les jambes relevées et écartées pour que ma belle mère assène de violents coups surtout sur l'intérieur des cuisses, là où la chair est tendre et sur le sexe, ensuite elle prenait plaisir à pincer et tordre la chair aux endroits boursoufflés avant d'etre mise au coin toute la soirée, avant le coucher, elle étrillée les parties flagellées avec une brosse dure. Je passais la nuit attachée avec une culotte d'orties
LOUISA - le 05/04/2022 à 10h03
Je n'avais jamais posté de commentaire alors que j'avais déjà lu ce texte. Elevé dans les années soixante, le martinet était en effet d'usage courant et bien des familles l'employait pour punir les enfants. Je n'avais jamais reçu de fessée et n'étais corrigé que par des claques sur les cuisses nues. Il fallut un redoublement à 11 ans pour que ma mère se munisse d'un martinet. Il ne servit que sur mes cuisses car je portais presque toujours des culottes courtes. Il pinçait méchamment mes cuisses et y laissait des traces visibles un jour ou deux. Il s'avéra efficace pour mes résultats scolaires et parvint à tempérer quelques écarts disciplinaires. Fort heureusement ma mère ne le maniait pas trop vigoureusement mais d'une main suffisamment ferme pour marquer. J'ai compris qu'elle ne voulait que ma réussite mais qu'il fallait que je fis les efforts nécessaires. Il fut actif jusqu'à 16 ans passés.
cambaceres - le 21/09/2022 à 22h28
Oh oui je l'ai connu le martinet sur les mollets les cuisses et déculottée pour une fessée a la main en ce terminant au martinet ça rigolait pas au moins y avait du respect et de la discipline ce que je pratique 1 fois par semaine avec mon conjoint
Moutcat - le 25/07/2024 à 20h27
A la maison , c'est ma mère qui donnait la fessée , à la main. Elle se plaignait souvent de mon comportement et une très bonne amie qui avait deux garçons lui conseilla vivement d'acheter un martinet. Ma mère suivit ses conseils et acheta un martinet à la droguerie de notre quartier. Il fut accroché dans la cuisine et servit pendant trois ans ,jusqu'à mes douze ans .je suis partie plus d' une fois avec les marques sur le derrière des cuisses, la honte! Elle racontait les fessées qu'elle ma donnait aux mères de mes copines ou à mon institutrice ; ça aussi c'était la honte .Je n'ai jamais osé le jeter ou couper ses lanières ; je crois que je l'aimais bien au fond . J'en ai parlé récemment avec une maie qui a connu la même éducation et qui elle en garde des mauvais souvenirs . Moi , j' en ai encore parfois la nostalgie
sophie - le 07/08/2024 à 07h48