Non catégorisé

Dimanche 4 septembre 7 04 /09 /Sep 19:56

J’aime beaucoup le côté rêve que véhiculent certaines images vintage. Venant d’un passé lointain, elles me permettent facilement de me projeter dans des situations improbables. Par exemple comme suggéré ici, une vraie fessée punitive entre filles et qui s’applique avec sérieux.


Excellents support fantasmatique, je peux me mettre au centre de l’action et choisir ma place. Que ce soit celle qui reçoit, celle qui applique ou celle qui observe. C’est peut-être pour cette raison que je suis tant attirée par des scènes intimistes entre filles. Un contexte H/f n’offre pas la possibilité d’identification avec chaque protagoniste. Ce qui limite bien mon choix et je me retrouve vite « à ma propre place ». Bref un retour à la (dure) réalité pour mon fessier que je connais déjà.


Le désir que l’événement se produise dans la réalité m’importe peu quand j’ai envie de partir dans mon » ailleurs ». C’est un « ailleurs » de nature très particulière. Il permet ce qui est réellement impossible. Je ne parle pas seulement de la constellation entre les personnes impliquées, mais de la possibilité d’être trois personnes à la fois, si on y inclut un spectateur invisible. Possibilité quasi magique pour savourer trois émotions bien distinctes. Voila la base même pour un joli récit.


J’aimerais dans ce post aborder la question du « choix de la place » sous un tout autre angle. Non pas comme une construction littéraire, mais dû à un contexte précis et retraçant des émotions à vives.


J’y pense parce que j’ai reçu une grosse fessée, il y a quelques jours. Avec le recul je la trouve parfaitement justifiée, mais sur le coup j’étais bien en rogne. Je veux dire après l’acte quand je suis sortie du coin et j’ai remonté ma petite culotte. Il ne faut pas croire que la fessée punitive produise à chaque fois un émoustillement plaisant ou un sentiment d’apesanteur. Tout dépend de la forme du jour et ce n’était pas mon jour.


Niveaux douleur dans mes fesses, c’était à peu près supportable. Du moins debout.


Ce jour-là Monsieur avait laissé le martinet à sa place. Ce qui est assez rare. Et quand il recourt à la main, il ne fait pas semblant. C’était du mémorable à la hauteur de mon méfait.


J’avais prévu d’écrire, mais la brûlure dans mes fesses se montra récalcitrante et je n’arrêtai pas de gigoter. Impossible de me concentrer. J’ai donc décidé de me calmer en faisant du ménage. Quand j’ai commencé à frotter le parquet avec mon balais - pour couronner la chose - mon homme n’a pu s’empêcher d’une petite pique :


La fessée t’as bien réussie, isabelle. Tu débordes d’énergie positive !


Je voulais commenter la photo en haut de ce post. Aborder la poésie du petit coussin sous le ventre de la dame qui reçoit sa fessée. Le petit repose-pied de celle qui administre. La position qui me parait mal adapté pour une fessée. Le manque de la petite culotte. Les fesses nues…


Mais je me suis vite égarée dans mes pensées. Mon plaisir à l’évocation de cette image était décuplé. Non pas dans un sens érotique, mais dans le sens d’une joie maligne pour cette « collègue » qui comme moi, à l’âge adulte est rappelée à l’ordre de manière peu commune. Des idées d’un « bien fait pour elle » ou encore « elle à dû bien chercher sa correction » me hantaient la tête. Toute une panoplie de politiquement incorrect qui reste d’habitude du domaine du non-dit. Sorte d’approbation de la légitimité de la fessée montrée qui dépasse mon raisonnement à l’état « normal ». Me donnant un parfait aperçu de la puissance de mon inconscient.


Et sur l’insistance de mon propre fessier brûlant, la place de la spectatrice ne me suffisait plus. Je me voyais vite à celle de la dame qui applique. Me passant mes nerfs à vif sur le postérieur devant mes yeux.


Jeu d’incohérences !


Le fessier anonyme se transforma aussitôt en celui d’une copine qui s’était (très gentiment) moquée un jour de mes gouts pour la discipline corporelle. Aboutissant à une petite discussion, si au fond la fessée en couple reste un jeu amusant entre adultes ou s’ils arrivent à lui attribuer un sérieux. Alors dans ma petite scène je m’entendais dire :


Demande à tes fesses si c’est un jeu amusant !


Et je m’adonnais à cœur joie pour claquer encore et encore son postérieur. Avec l’avantage que dans un pur fantasme cela ne fasse pas mal aux mains. Détail non-négligeable qui tranche avec la réalité. Au bout d’un moment j’y ai pensé.


Ma rancune contre mon homme disparut aussitôt. J’étais très émue du fait qu’il s’était servi de sa main. J’ai compris qu’il attribue beaucoup d’importance que mon comportement qui avait causé ma fessée ne se reproduise plus. En y voyant un élément particulièrement nocif pour notre couple. Et en appliquant tout simplement notre accord de discipline domestique à la lettre. Comme je lui ai demandé à nos débuts.


Sommes-nous alors encore dans un jeu ?


Ce jour-là, je ne me suis pas projetée à la place de la dame qui reçoit. J’en avais déjà eu pour mon compte ! 


Je suis allée voir mon homme. Je me suis installée sur ses genoux. J’ai pris la main qui m’avait durement corrigée dans la mienne, je l’ai amène à mes lèvres et je l’ai embrassée. En soufflant un petit et timide :


Merci pour ce que tu fais pour moi, mon chéri.

 


Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 11:31

On associe souvent l’amour et la douceur. Mais tout comme une pointe de jalousie peut donner du piment aux sentiments, la douleur peut venir agrémenter l’amour…


Je ne vais pas vous parler de SM. Ou peut-être si, mais pas des gens qui se reconnaissent en tant que tel. Je veux vous parler de vous et de moi, de tout un chacun et j’affirme : la douleur c’est bon…


Précisons que quand je parle de « douleur » je n’évoque pas celle qui nous fait oublier tout le reste, qui nous terrasse. Je veux parler de celle que vous ressentez par petites touches, par petites pointes.


Par exemple, quand vous vous mordez la lèvre pour ne pas exploser de rire ou parce que êtes sous le

charme du voisin d’en face, vous avez mal mais c’est agréable…
Quand vous vous grattez une piqure de moustique jusqu’à saigner et ce, sans pouvoir vous arrêter…


C’est là tout le paradoxe : la douleur et le plaisir en même temps.


On pourrait déjà se demander où commence la douleur, où finit le plaisir. Y a-t-il une limite bien nette entre les deux ? A quel moment précis peut-on dire que les frottements du pénis contre les parois du vagin commencent à être douloureux ? Ce n’est qu’une question de dosage…


Et ce moment, si subtile, si irréel, où la légère irritation que l’on commence à ressentir nous procure du plaisir… nous met dans une sorte d’état second, sauvage et bestial où tout notre corps est tourné vers les sensations, où au milieu de la transpiration, du foutre, des odeurs des corps et de la douleur, le sexe devient réellement libérateur.


Jouissif. Pas seulement quelques palpitations du clitoris mais le corps entier qui tremble de plaisir, après l’effort, après l’ivresse, qui se remet difficilement de son shoot d’endorphines


De même, la fessée érotique. Allongée sur ses genoux, dans une position inconfortable, une claque puis une autre, puis encore une autre, mêlées aux caresses, la peau s’échauffe, le cuir rougit, le plaisir vous monte aux joues. Ce n’est pas une fessée qui vous tombe dessus sans prévenir, c’est un plaisir dosé, mêlé à une douleur sourdre et enveloppante qui vous fait passer, grâce à une main de maître, à l’enivrement.


Le sexe peut être joli comme dans les films. Les caresses, les bonnes odeurs, tout cela est important au début pour charmer, plaire et donner envie mais s’éstompe petit à petit pour laisser place… au reste.


La sensation d’avoir les poignés et les chevilles attachés. La corde qui entre dans la chair. Une main qui attrape vos cheveux. Une autre qui vous claque les fesses. Les ongles plantés dans son dos, les dents dans son cou, dites moi, dites-moi que vous n’avez jamais aimé ça, ou que vous n’en avez jamais rêvé.

 

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 11:26

La fessée et la sodomie présentent plusieurs points communs. Le premier et le plus évident est que les deux sont un hommage au derrière féminin, cette pure merveille. 


Dans les deux pratiques, il y a une forme de domination/soumission, plus apparente dans la fessée ; mais dans la sodomie, on a aussi ce sentiment d’être « possédée ».


Les deux sont des pratiques « rudes » qui paradoxalement demandent une grande attention, un certain doigté, voire de la délicatesse de la part de celui qui contrôle.


Enfin les deux peuvent être douloureuses si elles sont mal exécutées. Ou au contraire conduire à un plaisir spécialement intense. Cette volupté particulière ne peut être le fruit que d’une longue et progressive préparation. Fesser un derrière qui n’a pas été chauffé par des caresses est aussi barbare que de pénétrer un anus sans l’avoir préalablement ouvert par des attouchements manuels ou buccaux.


Pour ce qui est des différences :

Avec la fessée on est complètement passive, ce qui implique d’avoir une confiance accrue en son partenaire. Alors qu’avec la sodomie, surtout si cela est pratiqué de côté ou sur l’homme, on a plus de contrôle.


L’action de la fessée reste en surface. Même si les claques sont fortes, il n’a pas de risque de lésion, alors qu’avec la sodomie, on pénètre dans le corps par une voie qui n’est pas prévue à cet effet. Quand l’excitation monte, il faut donc faire attention au risque de s’emballer… ceci est valable pour chacun des partenaires.

 

La fessée laisse moins de traces. Alors qu’avec la sodomie, on peut rester avec le sentiment, parfois très agréable, d’avoir été « possédée » pendant un ou plusieurs jours.
La fessée érotique, pour autant que celui qui donne se satisfasse du plaisir de jouir de la jouissance de l’autre, peut se pratiquer de manière « safe » sans préservatif. Alors que cette protection est indispensable pour la sodomie lorsqu’elle se termine (agréablement) par un rapport vaginal et cela même pour les couples qui ont des rapports réguliers et de confiance. La sodomie en nécessite alors deux lors d’une rencontre épisodique.

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 11:17

La fessée érotique, c’est tout un art. Il faut savoir la donner mais aussi la recevoir. On vous en parlait déjà ici ou , voici maintenant le « petit guide pratique de la fessée érotique » qui vous emmènera au 7e ciel ! 


Comment recevoir la fessée ?


Si l’on est en couple, le moyen le plus simple est évidemment de s’adresser d’abord à son ou sa partenaire.
(Par commodité, nous emploierons ici le masculin, mais ce qui est dit est aussi valable pour une femme.)


Il est souvent difficile de parler de ses fantasmes à quelqu’un que l’on côtoie régulièrement, et celui-ci est en plus bien particulier. En outre, en lui parlant frontalement on risque de bloquer l’autre, même si au fond il ne serait pas totalement fermé à ce genre de fantasme.
Une méthode plus « douce » consiste à le convaincre par la suggestion.


Commencez par mettre des tenues qui mettent bien en valeur vos fesses (jupe moulantes, strings… ) et accueillez la moindre petite tape ou caresse appuyée sur les fesses avec une satisfaction marquée ou des encouragements.

 

Puis sortez le grand jeu quand le moment semble venu : enfilez votre tenue la plus affriolante (jupe, bas, dessous…), posez la tête sur son épaule et lentement laissez-vous choir doucement jusqu’à vous affaler complètement sur ses genoux ; manifestez ouvertement l’excitation provoquée par le moindre geste qui semble aller vers la fessée (compliment sur les fesses ou la tenue,  caresses, tapes … ). Logiquement là, il devrait se diriger vers la fessée et il ne reste plus qu’à l’encourager et le guider pour qu’il applique l’intensité voulue qui puisse vous conduire ainsi au plus grand plaisir.


Et si rien ne se passe et bien c’est que la fessée n’est vraiment pas son truc.

 

Quand le plan A ne marche pas, il reste à appliquer le plan B : s’adresser à un ou une spécialiste.
(La fessée érotique peut-être donnée aussi bien par un homme que par une femme ; s’adresser à une spécialiste peut être en une certaine mesure rassurant et peut permettre aussi de faire une double diversion).
On en trouve sur internet, mais évidemment il s’agit d’être précautionneuse et d’être sûre de la sincérité de la personne avant de se lancer :


-    d’abord dialoguez avec lui par email (l’écrit révèle beaucoup d’une personne) et ensuite au téléphone.
-    Demandez à voir une photo face découverte
-    Exigez qu’une première discussion aie lieu d’abord dans un lieu public avec le choix de passer ensuite ou non à l’action.
-    Exigez que la séance soir sans rapport sexuel. On peut éventuellement changer d’avis par la suite, mais s’il accepte ce sera une preuve de sa sincérité et diminue les risques.
-    Exigez que la fessée se donne à la main uniquement. On peut là aussi changer d’avis par la suite, mais il est important que cette première fessée soir purement manuelle car elle est ainsi sans risque.
-    Convenez d’un « safe-word » un mot à prononcer qui fera arrêter la séance si elle prend une tournure non désirée (trop de douleur, par ex.)
En fait si c’est un vrai spécialiste, il devrait proposer cela lui-même ; cela peut être un moyen de le tester.


Ce dernier point est valable aussi si l’on décide de pratiquer la fessée avec son partenaire habituel. Même si on ne l’utilise jamais (ce qui est préférable !), il est bon pour tous les deux de savoir que ce « safe-word » existe : celle qui reçoit se sait en pleine confiance et celui qui donne se sent aussi plus libre dans ce qu’il peut entreprendre.

 

La fessée érotique est un rapport érotique qui doit apporter du plaisir aux deux partenaires, et conduire celle qui reçoit à la jouissance.


Dans ce cadre-là peut entrer un jeu de faute / punition. Cela peut ajouter du piment supplémentaire, mais il faut que cela soit bien clair que ce n’est qu’un jeu. Et ce n’est pas obligatoire du tout. On peut très bien pratiquer la fessée érotique sans cela, les sensations qu’elles procurent sont en soit bien assez excitantes.

 

Comment donner la fessée ?


La fessée érotique est mélange subtil de douceur et de violence qui n’a qu’un seul but : amener celle qui la reçoit au plus grand plaisir.


Quand on veut la donner, que ce soit à une partenaire qui l’a déjà reçue ou à une novice, il faut commencer par la douceur.


Et ce n’est qu’ainsi que l’on pourra amener une néophyte à s’abandonner à la fessée.


Caresser doucement ses cheveux, sa nuque, son dos… pour la faire se courber sensuellement et progressivement, jusque la faire s’affaler complètement sur ses genoux. Si elle manifeste du plaisir à être dans cette position, il est quasiment certain qu’elle va aimer la fessée. Mais là encore il faut procéder très progressivement.


D’abord caresser les fesses et ne les transformer en claques que quand la partenaire est bien chaude et qu’on la sent prête à la recevoir. C’est le moment crucial où vous allez savoir si elle accepte vraiment la fessée ou non, il s’agit donc de ne surtout pas rater ce virage en se précipitant, ce que l’on pourrait évidemment être tenté de faire sous le feu de l’excitation !


Donc la devise est «  hâte-toi lentement » !

 

Il faut bien comprendre que la fessée érotique ce n’est pas seulement taper ou donner des claques ; en font aussi partie intégrante :


-    toute la mise en condition et la préparation de la partenaire pour la fessée (l’attente, le choix de la tenue spécifique… )
-    la mise en position excitante en soi
-    la mise à nu progressive des fesses et de la partie la plus intime de son corps. Là encore le retroussage de la jupe et de déculottage doivent se faire doucement  et progressivement pour qu’ils induisent un maximum d’excitation, surtout lorsque les fesses sont déjà bien échaudées par les claques.
-    enfin les caresses : celles sur les fesses bien sûr qui viennent en contrepoint avec la fermeté des tapes, mais aussi celles qui stimulent l’intimité humide alors que simultanément sont données les claques accélérant et intensifiant ainsi la venue de l’orgasme.


Autrement il n’y a pas de précautions spéciales à prendre pour la fessée appliquée à la main. L’utilisation d’accessoires ne doit se décider que quand on est déjà bien rodé dans la pratique. Il en existe qui ont été spécialement étudiés pour faire « plus de peur que de mal » et induire l’excitation correspondante. Pour le reste, faire assez attention si on désire utiliser des accessoires et ne pas hésiter à les tester sur soi avant usage sur l’autre.


Mais le plus simple reste la bonne vielle fessée manuelle qui outre le délicieux contact sensuel qui ne provoque pas de réelle liaison et quand elle est appliquée progressivement ne doit procurer en fin de compte que du plaisir. En fait plus l’application est progressive, plus le résultat est voluptueux !


Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 11:15

Pourquoi la fessée érotique, et pourquoi parler d’un art ?


Il s’agit de bien distinguer la fessée érotique, qui est un rapport sensuel dont le but est de conduire au plaisir ceux qui s’y adonnent, de tous autres types de fessées administrées dans le but de punir. 


Dans la fessée érotique peut intervenir un jeu de punition, mais cela n’est pas obligatoire du tout.


Le but de la fessée érotique est de conduire au plus grand plaisir, à l’orgasme, celle qui livre cette partie si précieuse de son anatomie.


Pour ce faire il faut apprêter un subtil cocktail de fermeté et douceur, violence et tendresse, douleur et volupté – un peu de douleur pour beaucoup de voluptés -. Un savant dosage qu’il faut savoir varier selon chaque partenaire. La fessée érotique peut-être comparée au piment : ça peut brûler la bouche mais le goût est voluptueux et ça libère des endorphines qui induisent un sentiment de relaxation.


La fessée érotique est paradoxale. Alors que celle qui reçoit se trouve en situation d’abandon total, celui qui donne a les pleins pouvoirs… à première vue en tous cas. Car dans cette suprématie apparente, le « fesseur » doit afficher la plus grande maîtrise de soi, sentir les moindres réactions de la partenaire qui se livre à lui, deviner ses désirs secrets, parfois les anticiper tout en sachant «jusqu’où il peut aller».


C’est alors que la fessée érotique devient un art et c’est seulement ainsi que l’on peut conduire la complice à une jouissance étonnante et particulière.

 

Enfin la fessée est également un art car elle est peut être vue comme un hommage et une ode à cette pure merveille qu’est le derrière féminin.
Sexe à part (et encore on pourrait dire qu’il est le prolongement des fesses), il n’y a aucune partie du corps qui exprime autant la beauté et le mystère de la féminité.
La fessée érotique devient alors un applaudissement devant le merveilleux spectacle de ces monts qui se bombent, ces vallées qui convergent en une unique et mystérieuse crevasse… Exactement comme à la fin d’un concert lorsqu’on bat des mains à tout rompre pour exprimer son émotion.

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

  • : Le blog de Ange_et_demon-Comte-Vlad
  • Le blog de Ange_et_demon-Comte-Vlad
  • :
  • : La fessée sous toutes ses formes. A la main bien sur qui est à mon sens la plus forte en sensations à cause de contact..... mais aussi martinet, badine, paddle, cravache, fouet..............
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Images Aléatoires

  • 1163.2
  • 1163.4
  • 121947913475
  • 127550044257
  • 122864066661
  • 127219756052
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés