Dimanche 19 août 7 19 /08 /Août 15:14

Qui est-il celui qui m'a rendu heureuse ce soir ? Un homme dont je ne sais pas grand chose à part qu'il écrit parfois et pas trop mal ma foi. Un homme dont je connais par contre la fermeté des mains, rattaché à un grand corps athlétique. Un homme qui dans sa réalité est un grand homme ...

Vous voulez savoir comment il a fait pour m'apporter ce bonheur ... c'est très simple, il m'a donné une fessée. Oh pas une fessée tendresse, non, ni une fessée féroce, tout simplement LA fessée.

Il me regardait, m'observait tandis que je pianotai allègrement sans me soucier de lui. Il me voyait faire des bêtises, échanger des pensées coquines. Il attendait son heure !

Et puis il m'a attrapé de ses grandes mains bien fermes (garanties), il m'a tenu serrée contre lui faisant battre mon coeur avant de me faire basculer sur ses genoux, un léger sourire aux lèvres. Oh je connais ce sourire, il est spécifique aux mâles lorsqu'ils contemplent leur proie ...

Quelle lenteur à descendre, quel plaisir de résister un tout petit peu, quelle envie qu'il ne s'arrête pas. Il me couche en travers de ses genoux et l'un de ses mains se cale au creux de mes reins me vissant presque sur ses cuisses, tandis que l'autre se promène les long de mes chevilles remontant doucement, lentement le long de mes jambes ... je frissonne violement, ce qui déclenche chez lui un petit rire, discret, comme retenu.

Bon, c'est pas tout ça, mais faudrait peut-être qu'il se dépêche un peu ... je n'en peux plus d'attendre moi ! Je le lui fais comprendre par quelques oscillations du bassin. Il remonte alors encore sa main jusqu'à la naissance de mes cuisses, s'arrête un instant sur mes bas, caresse la jonction entre le tissu et la peau si douce, si lisse de mes cuisses. Il soupire et je n'en peux plus... « s'il te plait... » et ce n'est qu'un murmure.

 

« Toujours pressées les femmes » grommela-t-il, tout en remontant ma jupe largement au dessus de mes reins. Maintenant voilà qu'il jouait avec le tissu de ma culotte, glissant son doigt dans l'échancrure, la tirant doucement dans la fente héréditaire entre mes fesses. Oh le voyou ... ne voyait-il pas que j'attendais une toute petite fessée et non pas ce jeu érotique ?

Ma main part vers l'arrière pour l'aider à descendre ma culotte mais il l'attrape au vol et la joint à celle qui me retient sur ses genoux. Me voici à sa merci. « Vilaine » dit-il et il se décide enfin à claquer mon postérieur. Une claque, deux claques et il s'arrête ... j'attends ... longtemps ...

Mais c'est pas vrai ! Il a décidé de jouer avec mes nerfs ce soir. J'inspire un grand coup pour avoir le temps de lui dire ses quatres vérités, mais je n'ai pas le temps de prononcer un mot. Le voilà qui se lance dans une sarabande effrenée, sa main venant claquer ma fesse droite, puis ma fesses gauche puis encore à droite puis à gauche puis je ne sais plus, ça va trop vite, c'est merveilleux c'est un manège fabuleux ...

J'ai très chaud, je sens sa main sur mes reins qui s'alourdit, je sens son désir qui monte parallèllement au mien, je sens mes fesses brûler, je les imagine rouge pivoine. Et il continue encore et encore ... Mon Dieu, comment peut-il m'apporter tant de bonheur ? Il ralentit enfin, et je sens qu'il reprend son souflle, j'ai même l'impression que sa respiration s'alourdit.

Il ralentit mais ne s'arrête pas pour autant. Il prend un rythme régulier, faisant résonner chaque claque, recherchant un endroit de mes fesses moins coloré. J'ai affaire à un artiste, je le sais, je le sens. Un perfectionniste dans ce qu'il entreprend.

Maitenant la chaleur est telle que chaque claque me brûle, avivant en moi des vagues annonciatrices. Je ne peux plus m'empêcher d'onduler. Quelques larmes perlent à mes paupières, je ne sais si elles sont dues à la douleur ou au plaisir. Sans doute un trop plein d'émotion. Sa main redevient caresse, massant délicatement mon postérieur, s'enhardissant dans des endroits intimes et je ne peux m'empecher de soupirer.

 

« Prends moi dans tes bras », j'en avais besoin, l'ai je murmuré ou bien l'a-t-il deviné ? Toujours est-il que je me suis retrouvée bien au chaud dans ses bras, dans un cocon de bonheur, mes mains le calinant, ses mains sur mes hanches..

Par Ange_et_demon - Publié dans : récits
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Dimanche 19 août 7 19 /08 /Août 15:10

Il était une fois une petite jupe courte, plissée blanche à carreaux rouges et noirs. Elle était dans l’armoire et fort souvent trouvait que sa propriétaire la délaissait. Elle savait néanmoins que cela n’était point vrai. Il suffisait qu’elle attende son heure. Tous les jours, la porte de la penderie s’ouvrait et Elle prenait une fois un pantalon, l’autre fois elle s’attardait un peu plus et choisissait une robe ou une jupe droite, mais rien qu’à la façon dont Elle ouvrait la porte, elle savait que ce n’était point son heure.

Mais certains jours, il lui suffisait de l’entendre entrer dans la chambre, ou se lever en chantonnant, pour que la petite jupe sache que c’était LE jour. En effet, ces matins là, Elle était toute joyeuse, avec un sentiment d’anxiété et de tension réjouie. Cela ne trompait pas la petite jupe. Ces jours là aussi, Elle prenait du temps à se préparer, à se parfumer, à s’épiler avec soin, à s’observer dans le miroir ; on la sentait tout simplement en attente. Elle ouvrait à un moment donné le tiroir de la commode et se saisissait de sa cousine, la petite culotte blanche. « Ha ha… », se disait la jupette, « ce sera bientôt mon heure de gloire… En effet, il ne s’écoulait que peu de temps avant qu’enfin la porte de la penderie ne s’ouvre et que la petite jupe soit l’élue pour la journée.

 

Elle passa la petite culotte, une paire de bas blancs, des chaussures à talons hauts, un joli chemisier soyeux et enfila enfin la petite jupe qui tombait en corolle de part et d’autre. Elle allait et venait dans la chambre en faisant onduler ses hanches et en laissant virevolter la petite jupe. Quelle sensation agréable pour elle ! Enfin, Elle saisissait les clés de la voiture, et partait toujours par ce chemin bien familier à la petite jupe, vers un hôtel près d’un aéroport. Le feu aux joues – on se demande bien pourquoi…- Elle demandait « la clé » à l’accueil. Elle montait les étages d’un pas fringant, mais tremblotant, et dès son arrivée dans la pièce, commençait une attente anxieuse, une sorte de paix joyeuse, mais pourtant tendue. La petite jupe n’avait pas une minute de tranquillité, car Elle s’asseyait, se levait, s’asseyait à nouveau, marchait de long en large, s’étendait sur le lit, s’asseyait encore pour copier les lignes que sa conduite lui avait values.

Soudain, on frappa à la porte. Elle jaillit de sa chaise pour ouvrir et se jeta dans les bras du nouveau venu. Derechef, la petite jupe savait que son heure était proche. Déjà, une main assurée se glissait sur elle, la soulevait légèrement et passait entre elle et la petite culotte. Sa propriétaire, tout en se faisant tancer chaudement, était prise d’un tremblement qui la parcourait le long de l’échine, à la fois heureux et légèrement effrayé, et qui induisait un léger tressaillement de la petite jupe. Il ne fallut pas longtemps pour qu’Elle se retrouvât allongée en travers des genoux. Il lui dit alors combien Il trouvait fort jolie la petite jupe, et que c’était celle qu’il préférait. La jupette ne se sentait plus de joie, elle, que, selon lui, on n’avait pas de difficulté à descendre, comme le pantalon, ou à remonter comme la robe droite et qui n’était pas si délicate à trousser que la longue jupe fourreau.

 

D’un seul mouvement, la petite jupe voletait donc au-dessus des hanches, et une main décidée la relevait tout à fait vers le haut. Une sensation vertigineuse l’envahit. Si elle avait eu des joues, elles auraient fort probablement été très roses. Tout aussi roses sans aucun doute que celles de sa propriétaire au même moment, et qu’elle ne pouvait que deviner. Par une action symétrique, sa cousine, la petite culotte descendit sur le haut des cuisses, et à elles deux, elles formaient le plus bel écrin qui soit aux jolies fesses ainsi dénudées. Dans un frémissement de bonheur anxieux, Elle attendait la première claque d’une longue et non moins délicieuse fessée. La petite jupe avait une vue imprenable. Elle assistait au feu d’artifice des mains qui rougissaient le postérieur de sa propriétaire. Un vrai coucher de soleil ! Une vraie aurore boréale ! Quel spectacle ! Cela la consolait des nombreuses fois où elle ne pouvait qu’être jalouse de ne pas être préférée à d’autres tenues plus strictes.

La jupette échangea un sourire complice avec la petite culotte qui, de son coté, voyait sourdre la rosée du plaisir non feint de leur propriétaire.

Après de nombreux sursauts, une voix autoritaire les envoyait, Elle et la petite jupe d’un même mouvement vers le coin de la chambre, tandis que la culotte blanche déjà expédiée par les battements de jambes aux chevilles, terminait sa course sur le sol. La petite jupe reprit, par l’effet de la pesanteur, sa position habituelle, en couvre-fesses. Elle n’eut pas longtemps l’opportunité de ressentir la merveilleuse chaleur incendiaire qui irradiait du fessier rougi, car une main ferme la roula vers sa position initiale. Position à la chute des reins qu’elle n’aurait pas dû quitter, dévoilant ainsi à nouveau le ravissant tableau sous le regard strict mais émerveillé de son auteur. Il accompagna son geste de quelques cinglantes claques supplémentaires. Elle conserva ce maintien pendant quelques instants, avant qu’Elle ne se jette dans les bras ouverts de l’artiste en murmurant une demande de pardon, aussitôt accordé.

 

Il envoya prestement la petite jupe toute chiffonnée par toutes ces émotions rejoindre pour un temps la culotte blanche par terre, tandis qu’Il murmurait des paroles de consolation et prodiguait de tendres câlins à leur propriétaire. Cette dernière entièrement nue maintenant était juchée à califourchon sur ses genoux et profitait avec bonheur de ce moment si doux qui suit la fessée. Enfin avec tendresse Elle releva la jupette, et avec attention, la lissa, puis la remit sans aucun dessous. La jupette pouvait ainsi prendre le relais et à son tour effleurer et caresser avec tendresse et émotion la beauté brûlante des fesses nues de sa propriétaire maintenant toute détendue et paisible.

Par Ange_et_demon - Publié dans : récits
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Dimanche 4 septembre 7 04 /09 /Sep 19:56

J’aime beaucoup le côté rêve que véhiculent certaines images vintage. Venant d’un passé lointain, elles me permettent facilement de me projeter dans des situations improbables. Par exemple comme suggéré ici, une vraie fessée punitive entre filles et qui s’applique avec sérieux.


Excellents support fantasmatique, je peux me mettre au centre de l’action et choisir ma place. Que ce soit celle qui reçoit, celle qui applique ou celle qui observe. C’est peut-être pour cette raison que je suis tant attirée par des scènes intimistes entre filles. Un contexte H/f n’offre pas la possibilité d’identification avec chaque protagoniste. Ce qui limite bien mon choix et je me retrouve vite « à ma propre place ». Bref un retour à la (dure) réalité pour mon fessier que je connais déjà.


Le désir que l’événement se produise dans la réalité m’importe peu quand j’ai envie de partir dans mon » ailleurs ». C’est un « ailleurs » de nature très particulière. Il permet ce qui est réellement impossible. Je ne parle pas seulement de la constellation entre les personnes impliquées, mais de la possibilité d’être trois personnes à la fois, si on y inclut un spectateur invisible. Possibilité quasi magique pour savourer trois émotions bien distinctes. Voila la base même pour un joli récit.


J’aimerais dans ce post aborder la question du « choix de la place » sous un tout autre angle. Non pas comme une construction littéraire, mais dû à un contexte précis et retraçant des émotions à vives.


J’y pense parce que j’ai reçu une grosse fessée, il y a quelques jours. Avec le recul je la trouve parfaitement justifiée, mais sur le coup j’étais bien en rogne. Je veux dire après l’acte quand je suis sortie du coin et j’ai remonté ma petite culotte. Il ne faut pas croire que la fessée punitive produise à chaque fois un émoustillement plaisant ou un sentiment d’apesanteur. Tout dépend de la forme du jour et ce n’était pas mon jour.


Niveaux douleur dans mes fesses, c’était à peu près supportable. Du moins debout.


Ce jour-là Monsieur avait laissé le martinet à sa place. Ce qui est assez rare. Et quand il recourt à la main, il ne fait pas semblant. C’était du mémorable à la hauteur de mon méfait.


J’avais prévu d’écrire, mais la brûlure dans mes fesses se montra récalcitrante et je n’arrêtai pas de gigoter. Impossible de me concentrer. J’ai donc décidé de me calmer en faisant du ménage. Quand j’ai commencé à frotter le parquet avec mon balais - pour couronner la chose - mon homme n’a pu s’empêcher d’une petite pique :


La fessée t’as bien réussie, isabelle. Tu débordes d’énergie positive !


Je voulais commenter la photo en haut de ce post. Aborder la poésie du petit coussin sous le ventre de la dame qui reçoit sa fessée. Le petit repose-pied de celle qui administre. La position qui me parait mal adapté pour une fessée. Le manque de la petite culotte. Les fesses nues…


Mais je me suis vite égarée dans mes pensées. Mon plaisir à l’évocation de cette image était décuplé. Non pas dans un sens érotique, mais dans le sens d’une joie maligne pour cette « collègue » qui comme moi, à l’âge adulte est rappelée à l’ordre de manière peu commune. Des idées d’un « bien fait pour elle » ou encore « elle à dû bien chercher sa correction » me hantaient la tête. Toute une panoplie de politiquement incorrect qui reste d’habitude du domaine du non-dit. Sorte d’approbation de la légitimité de la fessée montrée qui dépasse mon raisonnement à l’état « normal ». Me donnant un parfait aperçu de la puissance de mon inconscient.


Et sur l’insistance de mon propre fessier brûlant, la place de la spectatrice ne me suffisait plus. Je me voyais vite à celle de la dame qui applique. Me passant mes nerfs à vif sur le postérieur devant mes yeux.


Jeu d’incohérences !


Le fessier anonyme se transforma aussitôt en celui d’une copine qui s’était (très gentiment) moquée un jour de mes gouts pour la discipline corporelle. Aboutissant à une petite discussion, si au fond la fessée en couple reste un jeu amusant entre adultes ou s’ils arrivent à lui attribuer un sérieux. Alors dans ma petite scène je m’entendais dire :


Demande à tes fesses si c’est un jeu amusant !


Et je m’adonnais à cœur joie pour claquer encore et encore son postérieur. Avec l’avantage que dans un pur fantasme cela ne fasse pas mal aux mains. Détail non-négligeable qui tranche avec la réalité. Au bout d’un moment j’y ai pensé.


Ma rancune contre mon homme disparut aussitôt. J’étais très émue du fait qu’il s’était servi de sa main. J’ai compris qu’il attribue beaucoup d’importance que mon comportement qui avait causé ma fessée ne se reproduise plus. En y voyant un élément particulièrement nocif pour notre couple. Et en appliquant tout simplement notre accord de discipline domestique à la lettre. Comme je lui ai demandé à nos débuts.


Sommes-nous alors encore dans un jeu ?


Ce jour-là, je ne me suis pas projetée à la place de la dame qui reçoit. J’en avais déjà eu pour mon compte ! 


Je suis allée voir mon homme. Je me suis installée sur ses genoux. J’ai pris la main qui m’avait durement corrigée dans la mienne, je l’ai amène à mes lèvres et je l’ai embrassée. En soufflant un petit et timide :


Merci pour ce que tu fais pour moi, mon chéri.

 


Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
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Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 11:31

On associe souvent l’amour et la douceur. Mais tout comme une pointe de jalousie peut donner du piment aux sentiments, la douleur peut venir agrémenter l’amour…


Je ne vais pas vous parler de SM. Ou peut-être si, mais pas des gens qui se reconnaissent en tant que tel. Je veux vous parler de vous et de moi, de tout un chacun et j’affirme : la douleur c’est bon…


Précisons que quand je parle de « douleur » je n’évoque pas celle qui nous fait oublier tout le reste, qui nous terrasse. Je veux parler de celle que vous ressentez par petites touches, par petites pointes.


Par exemple, quand vous vous mordez la lèvre pour ne pas exploser de rire ou parce que êtes sous le

charme du voisin d’en face, vous avez mal mais c’est agréable…
Quand vous vous grattez une piqure de moustique jusqu’à saigner et ce, sans pouvoir vous arrêter…


C’est là tout le paradoxe : la douleur et le plaisir en même temps.


On pourrait déjà se demander où commence la douleur, où finit le plaisir. Y a-t-il une limite bien nette entre les deux ? A quel moment précis peut-on dire que les frottements du pénis contre les parois du vagin commencent à être douloureux ? Ce n’est qu’une question de dosage…


Et ce moment, si subtile, si irréel, où la légère irritation que l’on commence à ressentir nous procure du plaisir… nous met dans une sorte d’état second, sauvage et bestial où tout notre corps est tourné vers les sensations, où au milieu de la transpiration, du foutre, des odeurs des corps et de la douleur, le sexe devient réellement libérateur.


Jouissif. Pas seulement quelques palpitations du clitoris mais le corps entier qui tremble de plaisir, après l’effort, après l’ivresse, qui se remet difficilement de son shoot d’endorphines


De même, la fessée érotique. Allongée sur ses genoux, dans une position inconfortable, une claque puis une autre, puis encore une autre, mêlées aux caresses, la peau s’échauffe, le cuir rougit, le plaisir vous monte aux joues. Ce n’est pas une fessée qui vous tombe dessus sans prévenir, c’est un plaisir dosé, mêlé à une douleur sourdre et enveloppante qui vous fait passer, grâce à une main de maître, à l’enivrement.


Le sexe peut être joli comme dans les films. Les caresses, les bonnes odeurs, tout cela est important au début pour charmer, plaire et donner envie mais s’éstompe petit à petit pour laisser place… au reste.


La sensation d’avoir les poignés et les chevilles attachés. La corde qui entre dans la chair. Une main qui attrape vos cheveux. Une autre qui vous claque les fesses. Les ongles plantés dans son dos, les dents dans son cou, dites moi, dites-moi que vous n’avez jamais aimé ça, ou que vous n’en avez jamais rêvé.

 

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
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Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 11:26

La fessée et la sodomie présentent plusieurs points communs. Le premier et le plus évident est que les deux sont un hommage au derrière féminin, cette pure merveille. 


Dans les deux pratiques, il y a une forme de domination/soumission, plus apparente dans la fessée ; mais dans la sodomie, on a aussi ce sentiment d’être « possédée ».


Les deux sont des pratiques « rudes » qui paradoxalement demandent une grande attention, un certain doigté, voire de la délicatesse de la part de celui qui contrôle.


Enfin les deux peuvent être douloureuses si elles sont mal exécutées. Ou au contraire conduire à un plaisir spécialement intense. Cette volupté particulière ne peut être le fruit que d’une longue et progressive préparation. Fesser un derrière qui n’a pas été chauffé par des caresses est aussi barbare que de pénétrer un anus sans l’avoir préalablement ouvert par des attouchements manuels ou buccaux.


Pour ce qui est des différences :

Avec la fessée on est complètement passive, ce qui implique d’avoir une confiance accrue en son partenaire. Alors qu’avec la sodomie, surtout si cela est pratiqué de côté ou sur l’homme, on a plus de contrôle.


L’action de la fessée reste en surface. Même si les claques sont fortes, il n’a pas de risque de lésion, alors qu’avec la sodomie, on pénètre dans le corps par une voie qui n’est pas prévue à cet effet. Quand l’excitation monte, il faut donc faire attention au risque de s’emballer… ceci est valable pour chacun des partenaires.

 

La fessée laisse moins de traces. Alors qu’avec la sodomie, on peut rester avec le sentiment, parfois très agréable, d’avoir été « possédée » pendant un ou plusieurs jours.
La fessée érotique, pour autant que celui qui donne se satisfasse du plaisir de jouir de la jouissance de l’autre, peut se pratiquer de manière « safe » sans préservatif. Alors que cette protection est indispensable pour la sodomie lorsqu’elle se termine (agréablement) par un rapport vaginal et cela même pour les couples qui ont des rapports réguliers et de confiance. La sodomie en nécessite alors deux lors d’une rencontre épisodique.

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
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