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Dimanche 19 août 7 19 /08 /Août 15:14

Qui est-il celui qui m'a rendu heureuse ce soir ? Un homme dont je ne sais pas grand chose à part qu'il écrit parfois et pas trop mal ma foi. Un homme dont je connais par contre la fermeté des mains, rattaché à un grand corps athlétique. Un homme qui dans sa réalité est un grand homme ...

Vous voulez savoir comment il a fait pour m'apporter ce bonheur ... c'est très simple, il m'a donné une fessée. Oh pas une fessée tendresse, non, ni une fessée féroce, tout simplement LA fessée.

Il me regardait, m'observait tandis que je pianotai allègrement sans me soucier de lui. Il me voyait faire des bêtises, échanger des pensées coquines. Il attendait son heure !

Et puis il m'a attrapé de ses grandes mains bien fermes (garanties), il m'a tenu serrée contre lui faisant battre mon coeur avant de me faire basculer sur ses genoux, un léger sourire aux lèvres. Oh je connais ce sourire, il est spécifique aux mâles lorsqu'ils contemplent leur proie ...

Quelle lenteur à descendre, quel plaisir de résister un tout petit peu, quelle envie qu'il ne s'arrête pas. Il me couche en travers de ses genoux et l'un de ses mains se cale au creux de mes reins me vissant presque sur ses cuisses, tandis que l'autre se promène les long de mes chevilles remontant doucement, lentement le long de mes jambes ... je frissonne violement, ce qui déclenche chez lui un petit rire, discret, comme retenu.

Bon, c'est pas tout ça, mais faudrait peut-être qu'il se dépêche un peu ... je n'en peux plus d'attendre moi ! Je le lui fais comprendre par quelques oscillations du bassin. Il remonte alors encore sa main jusqu'à la naissance de mes cuisses, s'arrête un instant sur mes bas, caresse la jonction entre le tissu et la peau si douce, si lisse de mes cuisses. Il soupire et je n'en peux plus... « s'il te plait... » et ce n'est qu'un murmure.

 

« Toujours pressées les femmes » grommela-t-il, tout en remontant ma jupe largement au dessus de mes reins. Maintenant voilà qu'il jouait avec le tissu de ma culotte, glissant son doigt dans l'échancrure, la tirant doucement dans la fente héréditaire entre mes fesses. Oh le voyou ... ne voyait-il pas que j'attendais une toute petite fessée et non pas ce jeu érotique ?

Ma main part vers l'arrière pour l'aider à descendre ma culotte mais il l'attrape au vol et la joint à celle qui me retient sur ses genoux. Me voici à sa merci. « Vilaine » dit-il et il se décide enfin à claquer mon postérieur. Une claque, deux claques et il s'arrête ... j'attends ... longtemps ...

Mais c'est pas vrai ! Il a décidé de jouer avec mes nerfs ce soir. J'inspire un grand coup pour avoir le temps de lui dire ses quatres vérités, mais je n'ai pas le temps de prononcer un mot. Le voilà qui se lance dans une sarabande effrenée, sa main venant claquer ma fesse droite, puis ma fesses gauche puis encore à droite puis à gauche puis je ne sais plus, ça va trop vite, c'est merveilleux c'est un manège fabuleux ...

J'ai très chaud, je sens sa main sur mes reins qui s'alourdit, je sens son désir qui monte parallèllement au mien, je sens mes fesses brûler, je les imagine rouge pivoine. Et il continue encore et encore ... Mon Dieu, comment peut-il m'apporter tant de bonheur ? Il ralentit enfin, et je sens qu'il reprend son souflle, j'ai même l'impression que sa respiration s'alourdit.

Il ralentit mais ne s'arrête pas pour autant. Il prend un rythme régulier, faisant résonner chaque claque, recherchant un endroit de mes fesses moins coloré. J'ai affaire à un artiste, je le sais, je le sens. Un perfectionniste dans ce qu'il entreprend.

Maitenant la chaleur est telle que chaque claque me brûle, avivant en moi des vagues annonciatrices. Je ne peux plus m'empêcher d'onduler. Quelques larmes perlent à mes paupières, je ne sais si elles sont dues à la douleur ou au plaisir. Sans doute un trop plein d'émotion. Sa main redevient caresse, massant délicatement mon postérieur, s'enhardissant dans des endroits intimes et je ne peux m'empecher de soupirer.

 

« Prends moi dans tes bras », j'en avais besoin, l'ai je murmuré ou bien l'a-t-il deviné ? Toujours est-il que je me suis retrouvée bien au chaud dans ses bras, dans un cocon de bonheur, mes mains le calinant, ses mains sur mes hanches..

Par Ange_et_demon - Publié dans : récits
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Dimanche 19 août 7 19 /08 /Août 15:10

Il était une fois une petite jupe courte, plissée blanche à carreaux rouges et noirs. Elle était dans l’armoire et fort souvent trouvait que sa propriétaire la délaissait. Elle savait néanmoins que cela n’était point vrai. Il suffisait qu’elle attende son heure. Tous les jours, la porte de la penderie s’ouvrait et Elle prenait une fois un pantalon, l’autre fois elle s’attardait un peu plus et choisissait une robe ou une jupe droite, mais rien qu’à la façon dont Elle ouvrait la porte, elle savait que ce n’était point son heure.

Mais certains jours, il lui suffisait de l’entendre entrer dans la chambre, ou se lever en chantonnant, pour que la petite jupe sache que c’était LE jour. En effet, ces matins là, Elle était toute joyeuse, avec un sentiment d’anxiété et de tension réjouie. Cela ne trompait pas la petite jupe. Ces jours là aussi, Elle prenait du temps à se préparer, à se parfumer, à s’épiler avec soin, à s’observer dans le miroir ; on la sentait tout simplement en attente. Elle ouvrait à un moment donné le tiroir de la commode et se saisissait de sa cousine, la petite culotte blanche. « Ha ha… », se disait la jupette, « ce sera bientôt mon heure de gloire… En effet, il ne s’écoulait que peu de temps avant qu’enfin la porte de la penderie ne s’ouvre et que la petite jupe soit l’élue pour la journée.

 

Elle passa la petite culotte, une paire de bas blancs, des chaussures à talons hauts, un joli chemisier soyeux et enfila enfin la petite jupe qui tombait en corolle de part et d’autre. Elle allait et venait dans la chambre en faisant onduler ses hanches et en laissant virevolter la petite jupe. Quelle sensation agréable pour elle ! Enfin, Elle saisissait les clés de la voiture, et partait toujours par ce chemin bien familier à la petite jupe, vers un hôtel près d’un aéroport. Le feu aux joues – on se demande bien pourquoi…- Elle demandait « la clé » à l’accueil. Elle montait les étages d’un pas fringant, mais tremblotant, et dès son arrivée dans la pièce, commençait une attente anxieuse, une sorte de paix joyeuse, mais pourtant tendue. La petite jupe n’avait pas une minute de tranquillité, car Elle s’asseyait, se levait, s’asseyait à nouveau, marchait de long en large, s’étendait sur le lit, s’asseyait encore pour copier les lignes que sa conduite lui avait values.

Soudain, on frappa à la porte. Elle jaillit de sa chaise pour ouvrir et se jeta dans les bras du nouveau venu. Derechef, la petite jupe savait que son heure était proche. Déjà, une main assurée se glissait sur elle, la soulevait légèrement et passait entre elle et la petite culotte. Sa propriétaire, tout en se faisant tancer chaudement, était prise d’un tremblement qui la parcourait le long de l’échine, à la fois heureux et légèrement effrayé, et qui induisait un léger tressaillement de la petite jupe. Il ne fallut pas longtemps pour qu’Elle se retrouvât allongée en travers des genoux. Il lui dit alors combien Il trouvait fort jolie la petite jupe, et que c’était celle qu’il préférait. La jupette ne se sentait plus de joie, elle, que, selon lui, on n’avait pas de difficulté à descendre, comme le pantalon, ou à remonter comme la robe droite et qui n’était pas si délicate à trousser que la longue jupe fourreau.

 

D’un seul mouvement, la petite jupe voletait donc au-dessus des hanches, et une main décidée la relevait tout à fait vers le haut. Une sensation vertigineuse l’envahit. Si elle avait eu des joues, elles auraient fort probablement été très roses. Tout aussi roses sans aucun doute que celles de sa propriétaire au même moment, et qu’elle ne pouvait que deviner. Par une action symétrique, sa cousine, la petite culotte descendit sur le haut des cuisses, et à elles deux, elles formaient le plus bel écrin qui soit aux jolies fesses ainsi dénudées. Dans un frémissement de bonheur anxieux, Elle attendait la première claque d’une longue et non moins délicieuse fessée. La petite jupe avait une vue imprenable. Elle assistait au feu d’artifice des mains qui rougissaient le postérieur de sa propriétaire. Un vrai coucher de soleil ! Une vraie aurore boréale ! Quel spectacle ! Cela la consolait des nombreuses fois où elle ne pouvait qu’être jalouse de ne pas être préférée à d’autres tenues plus strictes.

La jupette échangea un sourire complice avec la petite culotte qui, de son coté, voyait sourdre la rosée du plaisir non feint de leur propriétaire.

Après de nombreux sursauts, une voix autoritaire les envoyait, Elle et la petite jupe d’un même mouvement vers le coin de la chambre, tandis que la culotte blanche déjà expédiée par les battements de jambes aux chevilles, terminait sa course sur le sol. La petite jupe reprit, par l’effet de la pesanteur, sa position habituelle, en couvre-fesses. Elle n’eut pas longtemps l’opportunité de ressentir la merveilleuse chaleur incendiaire qui irradiait du fessier rougi, car une main ferme la roula vers sa position initiale. Position à la chute des reins qu’elle n’aurait pas dû quitter, dévoilant ainsi à nouveau le ravissant tableau sous le regard strict mais émerveillé de son auteur. Il accompagna son geste de quelques cinglantes claques supplémentaires. Elle conserva ce maintien pendant quelques instants, avant qu’Elle ne se jette dans les bras ouverts de l’artiste en murmurant une demande de pardon, aussitôt accordé.

 

Il envoya prestement la petite jupe toute chiffonnée par toutes ces émotions rejoindre pour un temps la culotte blanche par terre, tandis qu’Il murmurait des paroles de consolation et prodiguait de tendres câlins à leur propriétaire. Cette dernière entièrement nue maintenant était juchée à califourchon sur ses genoux et profitait avec bonheur de ce moment si doux qui suit la fessée. Enfin avec tendresse Elle releva la jupette, et avec attention, la lissa, puis la remit sans aucun dessous. La jupette pouvait ainsi prendre le relais et à son tour effleurer et caresser avec tendresse et émotion la beauté brûlante des fesses nues de sa propriétaire maintenant toute détendue et paisible.

Par Ange_et_demon - Publié dans : récits
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Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 09:42

martinet.jpg

 

De Blain

parmi quelques commentaires relatifs à la méthode d’éducation des « sixties »…

Comme toi, j’ai connu l’époque de l’éducation au martinet avec une maman sévère mais juste et aimante. Mon premier martinet, c’est le Père Noël qui me l’a apporté pour mes 6 ans. Le martinet était suspendu bien en vue dans la cuisine comme dans beaucoup de foyers. J’avais deux petites sœurs qui avaient 5 et 7 ans de moins aussi il est resté accroché au mur durant toute mon adolescence et il a beaucoup servi. J’étais scout jusqu’à 18 ans et je portais des shorts très courts et maman m’avait même acheté une culotte tyrolienne en cuir et très courte que j’aimais beaucoup porter.

 

A la moindre incartade, désobéissance ou mauvaise note, maman détachait le martinet et nous corrigeait sur le haut des cuisses. Pour les fautes plus graves maman n’hésitait pas à baisser mon short et ma culotte ; nous nous laissions faire sans protester par peur du doublement de la correction et parce qu’à l’époque la déculottée au martinet était une punition courante et banale. Maman était fière de son martinet et aimait en vanter les mérites lors des discussions entre mamans. Cela ne nous empêchait pas d’adorer maman qui savait aussi être généreuse et nous faire beaucoup de câlins.

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 …/… J’avais une sœur jumelle, Martine, et c’est maman qui choisissait nos vêtements car, pour elle, nous étions des gamins que l’on ait 7 ou 17 ans. Maman m’achetait des shorts très courts que je devais porter même l’hiver. Je me souviens de la mode des shorts en skaï pour garçons ou filles; maman nous en avait acheté 3 à chacun de couleur beige, noire et rouge. Ces shorts étaient inusables et je les ai portés de la 4ème à la première.

 

J’aimais ces shorts « mixtes » même si avec mes cheveux longs, on m’appelait souvent « mademoiselle » et que l’on on nous prenait pour des jumelles. Au collège privé, j’avais la réputation d’être « une fille manquée » et je jouais à des jeux de fille avec mes copines ; j’étais doué pour la corde à sauter. Contrairement à ma sœur, je travaillais mal en classe et j’ai redoublé ma sixième. A cette nouvelle, maman très en colère m’avait emmené chez la droguiste du coin pour acheter mon premier martinet dont elle m’avait souvent menacé et promis l'achat, mais je n’y croyais plus !
J’étais rouge de honte et j’avais les larmes aux yeux lorsque maman commanda un martinet. La droguiste détacha avec sa perche 2 grappes de martinets ; l’une traditionnelle avec des lanières en cuir et l’autre toute nouvelle avec des lanières en plastique multicolores.

 « Pour les fillettes, je conseille plutôt le martinet aux lanières en plastique mais pour votre grande fille les lanières en cuir seront sans doute plus efficaces. Je conseille à mes clientes de fouetter uniquement sur le haut des cuisses ou sur les fesses nues, la bonne vieille déculottée qui a fait ses preuves ! »

Bonjour la honte devant les clientes ! elle me prenait pour une fille et en plus elle conseillait les déculottées ! Bien sûr, je savais que dans la plupart des foyers il y avait un martinet et que les mamans n’avaient aucune honte à en vanter les mérites. Maman hésita dans son choix, finalement vu le prix modeste de 1,15 F, elle en choisit un de chaque lot. Elle accrocha celui en cuir au dessus mon bureau et l’autre en plastique fut exposé dans la cuisine. Maman rassura Martine en lui disant que le martinet était pour moi, par pour elle car elle était sage et travaillait bien en classe ! 

Ma 1ère déculottée, je l’ai reçue le lendemain après m’être disputé avec Martine et l’avoir giflée ; elle était allée pleurer comme d’habitude dans les jupes de maman. Après une leçon de morale, elle a envoyé ma sœur chercher le martinet dans ma chambre. Elle était toute contente quand elle a tendu le martinet à maman :

 « C’est bienfait pour lui, il est trop méchant, il mérite une fessée cul nu !» 

  « Tu as raison ma chérie, je vais lui apprendre à respecter les filles ! »

Je maudissais Martine mais je dus me soumettre sans oser protester et j’ai gardé un souvenir très cuisant de cette fessée qui dura une éternité puis j’ai dû demander pardon à cette rapporteuse de Martine et je suis resté une demi-heure au piquet les fesses à l’air ! Durant plusieurs années scolaires, j’ai eu comme toi droit au martinet maternel pour chaque mauvaise note mais je n’y voyais rien à dire sachant que c’était pour mon bien. J’en parlais sans honte même à mes copines de classe qui m’avaient surnommées « Miss Martinet » et qui adoraient que je leur raconte.  Certaines ne comprenaient pas qu'un grand ado comme moi se laisse punir ainsi comme un gamin…. même si à l'époque j'étais loin d'être le seul de ma classe à être sous la menace permanente du martinet ; en 1ère, d'après mon enquête, nous étions 3 filles et 2 garçons dans ce cas ! C'était les beaux jours du martinet qui était à l'honneur !

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : récits
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Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 09:28

Tous les ans, dès la fin des classes, Maman nous emmenait ma sœur Nathalie, de deux ans mon aînée, et moi passer nos vacances dans la vaste maison de notre grand-mère, idéalement située à côté de la plage et du port d’une petite station bretonne en face des Sept-Iles, où notre père venait nous rejoindre début août.

C’était une joie pour nous de retrouver notre grand-mère, nos deux tantes Sophie et Monique, les sœurs de Maman (comme Papa, nos oncles venaient nous retrouver plus tard), et notre ribambelle de cousins, en particulier ceux qui étaient dans nos âges : Marie qui avait un an de plus que moi et François de deux ans mon cadet. Nous retrouvions aussi – mais avec une joie moindre ! – toujours fidèle au poste et à sa place à côté de la cheminée de la grande salle de séjour, le bon vieux martinet familial qui, après avoir épousseté le derrière et les cuisses des mères, avait repris du service pour les enfants. Nous sentions un brin d’émotion chez Maman et mes tantes lorsqu’elles le revoyaient et évoquaient leurs souvenirs de fessées.

Notre grand-mère, qui vivait seule depuis le décès de son mari, adorait recevoir ses petits-enfants qui lui remplissaient la maison de nos cris et de nos rires.

Dans les trois familles, nous étions tous élevés avec tendresse mais aussi fermeté. C’étaient les vacances et la discipline se relâchait un peu, mais le martinet veillait toujours au grain ! Les repas étaient animés mais, si le ton montait trop ou si les enfants se chamaillaient, il n’était pas rare de voir une des mères décrocher le martinet et nous en menacer pour rétablir le calme… et, le plus souvent, il revenait comme par miracle !

Comme tous les gamins, nous rivalisions pour les bêtises et l’on pouvait voir parfois l’un de nous (ou une, car les filles n’étaient pas épargnées !), nez contre le mur et mains sur la tête, se faire cingler les cuisses avec les lanières du martinet ou assister à une bonne fessée qui rougissait les fesses déculottées de l’un ou de l’autre. Après la punition et le sermon, nous allions méditer quelque temps au piquet sur notre conduite puis venaient le pardon et le câlin. Nous savions que, quel que soit notre âge, nous pouvions tous y passer. Notre tenue facilitait d’ailleurs bien les choses : les filles étaient en petite robe d’été et les garçons jusqu’à 16 ans portaient un short léger quand nous ne finissions pas les culottes courtes que nous ne pouvions plus mettre pour aller à l’école. 

Lorsque nous avions terminé la part des travaux ménagers qui nous était assignée, nous jouions dans le jardin ou sous la pergola, les jours de pluie. Quand il faisait beau, nous allions à la plage retrouver les copains et, tous en cercle allongés sur nos serviettes, nous refaisions le monde. C’est dans le petit bois derrière la plage que j’ai vécu mon premier flirt et mon premier « vrai baiser » avec une fille !

Si le temps ne nous permettait pas toujours de jouer ou de rêvasser à la plage, nous allions néanmoins tous les jours nous baigner même s’il pleuvait. Parfois, nous ressortions de l’eau gelés et avions hâte d’aller nous réchauffer à la maison devant la cuisinière en dégustant un bon bol de chocolat chaud. Une quarantaine d’années après, je garde toujours un souvenir ému de nos goûters ! Je me lèche encore les babines en pensant au bon pain de campagne bien frais, au beurre breton et aux confitures de la grand-mère quand ce n’était pas des crêpes ou un gâteau tout chaud sortant du four.

Les grands avaient la permission de sortir le soir jusqu’à 23 heures, mais nous avions intérêt à revenir à l’heure dite si nous n’avions pas envie que nos mères décrochent le martinet…

Le 14 juillet et le 15 août, le bourg était en fête : les forains venaient avec leurs manèges, leurs stands de tir, de confiseries et le feu d’artifice était suivi d’un bal musette. Pour l’occasion, nous avions la permission de minuit et recevions de l’argent de poche pour nous amuser, mais étions placés sous la responsabilité de ma sœur aînée qui avait pour mission de nous surveiller. Et je peux vous assurer, qu’en digne fille de sa mère, elle savait se faire écouter !

Le 15 août 1971, l’année de mes 16 ans, Nathalie avait déjà donné le signal du départ, lorsque notre amie Florence dont les parents étaient absents, nous invita tous les quatre à venir finir la soirée en fêtant son anniversaire chez elle avec des copains. Nous avons d’abord refusé mais elle insista :

« Vous êtes ballots de vous en faire ! Vos parents dormiront tous à coup sûr et vous n’aurez qu’à rentrer sans faire de bruit ! »

Elle nous fit entrer dans la maison où plusieurs copains et copines de la plage étaient déjà là. Le cidre breton (du vrai, du bouché !) coulait à flots et, bravant l’interdit, nous y avons tous goûté plus que de raison, de même que Marie qui fuma sa première cigarette, déclenchant l’hilarité générale en toussant. La fête battait son plein, le tourne-disque distillait une musique douce et des corps se rapprochaient ! Nous ne voyions pas le temps passer quand, soudain, Nathalie s’apercevant qu’il était près de 2 heures du matin, nous fit lever le camp. Je me sentais un peu « pompette » en remontant sur mon vélo, mais j’étais assez lucide pour espérer que les parents dormaient bien. On rentra doucement, sans faire de bruit, mais un comité d’accueil musclé nous attendait ! Maman, visiblement furieuse, nous salua en donnant une paire de gifles à Nathalie pendant que Tante Monique, de loin la plus sévère des trois mères, revenait avec le martinet à la main.

« Vous avez vu l’heure ! Vous avez plus de deux heures de retard ! Mais vous avez bu et vous sentez le tabac ! Alors que nous nous faisions un sang d’encre en vous attendant. Vos pères ont fait le tour du bourg espérant vous trouver, mais la fête foraine était déjà terminée. Ils sont passés par la plage où ils ont vu des jeunes, mais pas vous ! Où étiez-vous donc ? »

Elle prit le martinet des mains de sa sœur et nous en cingla sévèrement les cuisses.

« Ce n’est qu’un acompte ! Vous ne perdez rien pour attendre et nous règlerons les comptes tout à l’heure ! Maintenant au lit ! Et ne faites pas de bruit pour ne pas réveiller les petits ! »

Tante Monique en rajouta :

« Il faut que l’on en discute mais je pense que vous êtes tous bons pour une sacrée rouste ! »

Maman renchérit :

« Nathalie, tu es l’aînée et tu étais responsable ! Tu vas voir la raclée que tu vas prendre. Je sais bien qu’avec toi, j’ai arrêté les fessées pour tes 16 ans mais tu t’es comportée aujourd’hui comme une gamine irresponsable et je me demande si j’ai eu raison ! »

« Mais Maman, on était chez Florence qui fêtait son anniversaire. »

« Tu aurais pu nous prévenir ! Il y a le téléphone chez elle, je crois ! »

« Excuse-moi Maman, mais je ne voulais pas vous réveiller. »

« Sans nous dire ce que vous faisiez, vous nous laissiez craindre le pire ! Peut-être que vous avez eu un accident et que vous êtes à l’hôpital ! A 18 ans, on doit être raisonnable et responsable, ma fille ! Tu peux préparer tes fesses, jamais plus tu ne me referas un truc comme ça. Maintenant, ça suffit ! Assez discuté ! Bonne nuit à tous, enfin le peu qu’il en reste ! »

On monta se coucher, mais dans la chambre François et moi avions du mal à nous endormir et avons parlé de la volée qui nous attendait.

Le lendemain fut glacial. Aucun adulte ne nous adressait la parole. Après le dîner, tandis que mes tantes montaient coucher les petits, Maman nous parla enfin :

« Vous vous doutez bien qu’il n’y a pas de sortie pour vous ce soir ! Vous avez du sommeil à rattraper ! Montez vous mettre en pyjama ou en chemise de nuit et revenez dans une demi-heure pour que nous puissions régler nos comptes ! »

François et moi étions descendus les premiers et attendions au bas de l’escalier. Quelques instants plus tard, Nathalie en chemise de nuit blanche longue et Marie dans un pyjama bleu à petites fleurs nous rejoignirent. Nathalie descendait l’escalier les bras croisés devant pour éviter que ses seins ne ballottent. Elle faisait en effet un complexe sur sa poitrine qu’elle trouvait trop opulente à son gré (une phobie d’adolescente car elle avait un bien joli décolleté !).

Peu après, Papa vint nous chercher. Quelle mise en scène ! Les parents étaient en ligne, comme au spectacle, assis sur des chaises, avec au milieu la grand-mère qui présidait sur son fauteuil. Ils avaient placé au centre de la pièce la « chaise à fessée », une solide chaise métallique verte de jardin qui ne servait que pour les fessées magistrales et, à côté sur le sol, bien sûr le martinet mais aussi cette horrible badine de jonc que Tante Monique utilisait dans les cas extrêmes sur le derrière de François. Tout était réuni pour nous déstabiliser !

Nous étions tous les quatre debout devant eux quand le verdict tomba de la bouche de la grand-mère. Elle nous expliqua que nous étions tous coupables et que nous méritions tous une bonne fessée à la main qui serait complétée en fonction de notre âge et de notre responsabilité par une correction au martinet ou même à la badine. Nathalie, l’ainée, recevrait 20 coups de badine et 30 coups de martinet, Marie, qui aurait dû la rappeler à ses devoirs, 50 coups de martinet, moi Bruno, 30 et notre jeune cousin François, 10. Elle ajouta que nous ne serions punis qu’en présence des seules mères et que, pour sauvegarder notre pudeur et éviter des réactions visibles et incongrues des garçons, nous passerions chacun notre tour pendant que les autres attendraient dans le vestibule.

Elle garda Nathalie pendant que les pères se retiraient et nous ordonna d’attendre notre tour nez au mur ! François sortit le dernier et voulut fermer la porte derrière lui mais il fut rappelé à l’ordre vertement par sa mère :

« Laisse cette porte ouverte, François ! Nous voulons que vous sachiez ce qui vous attend. »

J’étais effondré : je ne me souvenais pas d’une telle raclée ! Je plaignais ma pauvre sœur condamnée à une peine si sévère. Jamais nous nous réjouissions de la punition de l’autre – d’ailleurs, Maman ne l’aurait pas toléré – mais privilégions la compassion !

Je compris aussi que nos mères n’avaient pas oublié le relief que faisait mon short, preuve que le spectacle de la sévère fessée publique infligée deux ans plus tôt à ma cousine, ne m’avait pas laissé indifférent. Un ordre de Tante Sophie me rappela à la triste réalité :

« Nathalie, enlève-moi cette chemise de nuit ! Maintenant viens sur mes genoux ! »

Je pensais alors :

« Elle a quand même de la chance que ce soit Tante Sophie qui s’occupe d’elle, c’est la moins sévère des trois et elle a faible pour elle. Pourvu qu’elle le fasse jusqu’au bout ! »

Ma tante était une femme robuste et j’entendais le bruit caractéristique de fortes claques bien espacées tombant sur la peau nue et, en écho, Nathalie qui criait, gémissait et la suppliait d’arrêter. Peine perdue ! La sévère fessée continuait inlassablement. A un moment, Maman répondit à ses suppliques :

« A 18 ans, tu t’es comportée comme une petite écervelée, alors ne t’étonnes pas d’être punie comme une gamine ! Et n’oublie pas que tant que tu resteras sous le toit familial, tu recevras la fessée si tu la mérites ! A toi de faire ce qu’il faut »

Soudain, un bruit différent se fit entendre comme un objet dur tombant sur le parquet, je compris que Nathalie avait perdu une mule. Je me l’imaginais sur les genoux de ma tante, les cuisses et les fesses rougies par la fessée espérant atténuer la douleur en gigotant et battant des jambes dans des mouvements désordonnés, quitte à dévoiler son intimité. Quand l’averse de claquées s’arrêta enfin, je me doutais bien que les fesses et les cuisses de Nathalie lui brûlaient déjà, mais le pire était encore à venir.

Après quelque temps d’un silence glacial entrecoupé par des sanglots, ma tante lui ordonna de se relever et d’aller prendre appui sur la table pour la suite de sa punition. Ma grande sœur gémissait encore qu’un claquement sec résonna à nos oreilles suivi immédiatement d’un déchirant cri de douleur. Les coups suivants, bien espacés, me parurent moins appuyés, ce qui n’empêcha pas Nathalie de hurler à chacun d’eux. Tante Sophie, qui avait une affection particulière pour Nathalie dont elle était la marraine, avait dû modérer sa force après avoir vu l’effet qu’avait fait le premier coup de cet instrument barbare qu’elle n’utilisait pas pour punir ses enfants. Après un silence seulement entrecoupé de gémissements pitoyables, Tante Sophie estima :

« Elle a déjà reçu une bonne correction »

Mais Maman lui coupa la parole :

« Je te connais ! Tu voudrais bien arrêter la punition de ta petite chérie ! Mais ce ne serait pas lui rendre service ! Il n’est pas question de la dispenser du martinet ! »

Très vite, le martinet entrait en branle tandis que ma sœur hurlait de toutes ses forces. Je reconnaissais, en effet, un bruit qui m’était familier pour l’avoir entendu, plus souvent qu’à mon tour, quand les lanières de cuir cinglaient ma croupe. Peu avant la fin, Tante Sophie l’encouragea :

« Courage ma belle, c’est bientôt fini ! »

Bientôt, la fessée prenait fin et on n’entendit plus que le sermon de Maman sur un fond de gémissements et de reniflements :

« J’espère que tu deviendras une adulte. Il y a longtemps que je n’avais rien à te reprocher et si on t’a fouettée aussi sévèrement aujourd’hui, c’est que tu l’as mérité. Tu es bien d’accord ? »

Après un petit « Oui Maman ! » qui sortit entre deux sanglots, Maman continua :

« Crois-moi bien, on ne l’a pas fait pour le plaisir mais si on te donne une responsabilité c’est que l’on t’en croit capable. Tu nous as tous déçus. Maintenant c’est oublié ! Viens nous embrasser. »

Maman l’autorisa à remettre sa chemise de nuit et l’envoya se coucher en lui promettant de monter la soigner. Elle appela Marie tandis que Nathalie sortait en larmes. Je me hasardai à l’interroger d’un signe du menton et elle troussa sa chemise de nuit pour me montrer l’état de son arrière. Ses fesses étaient rouges et striées par les lanières du martinet et balafrées par la badine, mais notre tante avait dû seulement viser les fesses, et ses cuisses n’étaient pratiquement pas marquées. Elle pourrait donc, dès le lendemain, se mettre en maillot de bain sans attirer les regards amusés des uns, apitoyés des autres !

Marie était une grande et belle jeune-fille avec un joli derrière bien rond mais pas beaucoup de poitrine. Elle aussi complexait sur ses seins qu’elle jugeait trop petits contrairement à ma sœur. Ah ces filles qui ne sont jamais satisfaites de leur corps ! J’en « pinçais » depuis toujours pour elle et je lui avais déclaré un jour ma flamme mais elle m’avait répondu qu’elle m’aimait « comme un frère » !

C’est Maman qui l’a prise « en mains » et j’entendis très vite, répondant aux claques, les cris de ma cousine, bientôt entrecoupés de sanglots et de suppliques et je m’imaginais son popotin dodu rosir, puis rougir sous l’effet des claquées. Je rageais d’être privé du spectacle !

Je fus ramené sur terre par des cris plus aigus et de gros sanglots provoqués par les cinglades du martinet. Marie était douillette et Maman était une sacrée fouetteuse, ma croupe en sait quelque chose !

Après le pardon et le baiser de paix, Marie sortit en larmes, s’essuyant les yeux d’une main et, de l’autre, se massant le derrière pour en atténuer la cuisson.

Ce fut alors à moi. En me déculottant, je sentais mes joues s’empourprer de honte d’avoir à dévoiler mon anatomie devant toutes ces femmes avant que celles du bas ne s’empourprent à leur tout ! Comme je le pressentais, ce fut Tante Monique, la terrible, qui me donna une fessée retentissante et mes 30 coups de martinet bien appuyés qui, bien sûr, me firent crier de douleur et sangloter. J’étais en larmes quand le déluge de cinglades s’arrêta. Tante Monique m’autorisa à remonter mon pantalon de pyjama et Maman m’expliqua que j’avais été puni moi aussi car j’aurais dû raisonner ma sœur. Je montais dans notre chambre les fesses en feu en me massant énergiquement le derrière espérant en atténuer la cuisson, fol espoir !

Peu après, alors que j’étais couché sur le ventre, les fesses à l’air car je ne pouvais supporter le contact de mon pantalon sur mon derrière meurtri, François vint me rejoindre, se frottant lui aussi la croupe. Il n’eut que le temps de me confier que c’était Grand-Mère qui lui avait donné sa fessée et de rajouter en souriant qu’il avait eu bien de la chance de tomber sur elle, car « la pauvre, elle n’avait plus beaucoup de force » tandis que moi… Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase car Tante Sophie entrait avec des serviettes humides et de la pommade pour apaiser nos arrières.

Le lendemain, notre vie insouciante d’ados en vacances reprit son cours normal et nous eûmes de la chance que la pluie nous empêche de paresser sur la plage et qu’aucun de nos copains ne soit au courant de la « fête » très spéciale qui nous avait été réservée.

Je me rappellerai toujours nos vacances chez la grand-mère, nos parties de pêche, nos pique-niques aux Sept-Iles qui n’étaient pas encore une réserve classée et où nous pouvions approcher les phoques et les pingouins nains

Nous évoquons encore cette période heureuse de notre enfance entre cousins. Nous n’avons jamais été traumatisés par les fessées que nous avons reçues et nous ne sommes pas devenus violents !

Nous sommes une génération responsable et avons tous réussi notre vie d’adulte.

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : récits
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