univers

Sculpture : Le Bernin

Il s’agit d’un envoi lecteur qui me plait beaucoup pour sa force suggestive.

Quand j’étais une très jeune femme je voyais moins la profondeur de mes fantasmes de fessée comme un désir irréalisable.

Je ne parle pas du fantasme basique de recevoir une fessée pendant des activités coquines. Comme préliminaire par exemple. Il suffit de bien choisir son partenaire et de lui demander. Les hommes désireux de faire plaisir à leur partenaire ne manquent pas. Et pas mal parmi eux possèdent au moins des bases rudimentaires style Ananga Ranga , livre qui parle aussi entre autres de la fessée coquine. Sans se prendre pour un terrible macho qui bat une femme.

Ceci dit, la fessée coquine n’est pas dépourvue de charme. Elle intervient dans les ébats amoureux à mes yeux plus comme un puissant stimulant physique, forme de caresse un peu rude en quelque sorte sans jouer sur un effet psychologique. Pas besoin d’un vocabulaire adapté, de tenue spécifique ou de mise en scène. C’est une situation sans contexte qui met en relief les plaisirs du corps.

Je pourrais écrire des textes sur ce sujet, bien politiquement correct. Et vanter aussi les sensations particulièrement intenses. Mais bon, on trouve de tels textes un peu partout de nos jours. Et pour moi ils entrent dans le cadre :

Comment mieux faire jouir sa partenaire.

Et dans ce cas, personnellement je ne vois pas l’intérêt de faire un blog de fessée. Il suffit de caser quelques post sur un blog qui traite la coquinerie humaine de font en comble.

Parler fessée pour moi, c’est aller un peu plus loin. Aborder les zones troubles de l’âme. Désirs plus ou moins coupables qui se nourrissent d’un contexte psychologique…