Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 09:42

martinet.jpg

 

De Blain

parmi quelques commentaires relatifs à la méthode d’éducation des « sixties »…

Comme toi, j’ai connu l’époque de l’éducation au martinet avec une maman sévère mais juste et aimante. Mon premier martinet, c’est le Père Noël qui me l’a apporté pour mes 6 ans. Le martinet était suspendu bien en vue dans la cuisine comme dans beaucoup de foyers. J’avais deux petites sœurs qui avaient 5 et 7 ans de moins aussi il est resté accroché au mur durant toute mon adolescence et il a beaucoup servi. J’étais scout jusqu’à 18 ans et je portais des shorts très courts et maman m’avait même acheté une culotte tyrolienne en cuir et très courte que j’aimais beaucoup porter.

 

A la moindre incartade, désobéissance ou mauvaise note, maman détachait le martinet et nous corrigeait sur le haut des cuisses. Pour les fautes plus graves maman n’hésitait pas à baisser mon short et ma culotte ; nous nous laissions faire sans protester par peur du doublement de la correction et parce qu’à l’époque la déculottée au martinet était une punition courante et banale. Maman était fière de son martinet et aimait en vanter les mérites lors des discussions entre mamans. Cela ne nous empêchait pas d’adorer maman qui savait aussi être généreuse et nous faire beaucoup de câlins.

Autre commentaire - suite

 …/… J’avais une sœur jumelle, Martine, et c’est maman qui choisissait nos vêtements car, pour elle, nous étions des gamins que l’on ait 7 ou 17 ans. Maman m’achetait des shorts très courts que je devais porter même l’hiver. Je me souviens de la mode des shorts en skaï pour garçons ou filles; maman nous en avait acheté 3 à chacun de couleur beige, noire et rouge. Ces shorts étaient inusables et je les ai portés de la 4ème à la première.

 

J’aimais ces shorts « mixtes » même si avec mes cheveux longs, on m’appelait souvent « mademoiselle » et que l’on on nous prenait pour des jumelles. Au collège privé, j’avais la réputation d’être « une fille manquée » et je jouais à des jeux de fille avec mes copines ; j’étais doué pour la corde à sauter. Contrairement à ma sœur, je travaillais mal en classe et j’ai redoublé ma sixième. A cette nouvelle, maman très en colère m’avait emmené chez la droguiste du coin pour acheter mon premier martinet dont elle m’avait souvent menacé et promis l'achat, mais je n’y croyais plus !
J’étais rouge de honte et j’avais les larmes aux yeux lorsque maman commanda un martinet. La droguiste détacha avec sa perche 2 grappes de martinets ; l’une traditionnelle avec des lanières en cuir et l’autre toute nouvelle avec des lanières en plastique multicolores.

 « Pour les fillettes, je conseille plutôt le martinet aux lanières en plastique mais pour votre grande fille les lanières en cuir seront sans doute plus efficaces. Je conseille à mes clientes de fouetter uniquement sur le haut des cuisses ou sur les fesses nues, la bonne vieille déculottée qui a fait ses preuves ! »

Bonjour la honte devant les clientes ! elle me prenait pour une fille et en plus elle conseillait les déculottées ! Bien sûr, je savais que dans la plupart des foyers il y avait un martinet et que les mamans n’avaient aucune honte à en vanter les mérites. Maman hésita dans son choix, finalement vu le prix modeste de 1,15 F, elle en choisit un de chaque lot. Elle accrocha celui en cuir au dessus mon bureau et l’autre en plastique fut exposé dans la cuisine. Maman rassura Martine en lui disant que le martinet était pour moi, par pour elle car elle était sage et travaillait bien en classe ! 

Ma 1ère déculottée, je l’ai reçue le lendemain après m’être disputé avec Martine et l’avoir giflée ; elle était allée pleurer comme d’habitude dans les jupes de maman. Après une leçon de morale, elle a envoyé ma sœur chercher le martinet dans ma chambre. Elle était toute contente quand elle a tendu le martinet à maman :

 « C’est bienfait pour lui, il est trop méchant, il mérite une fessée cul nu !» 

  « Tu as raison ma chérie, je vais lui apprendre à respecter les filles ! »

Je maudissais Martine mais je dus me soumettre sans oser protester et j’ai gardé un souvenir très cuisant de cette fessée qui dura une éternité puis j’ai dû demander pardon à cette rapporteuse de Martine et je suis resté une demi-heure au piquet les fesses à l’air ! Durant plusieurs années scolaires, j’ai eu comme toi droit au martinet maternel pour chaque mauvaise note mais je n’y voyais rien à dire sachant que c’était pour mon bien. J’en parlais sans honte même à mes copines de classe qui m’avaient surnommées « Miss Martinet » et qui adoraient que je leur raconte.  Certaines ne comprenaient pas qu'un grand ado comme moi se laisse punir ainsi comme un gamin…. même si à l'époque j'étais loin d'être le seul de ma classe à être sous la menace permanente du martinet ; en 1ère, d'après mon enquête, nous étions 3 filles et 2 garçons dans ce cas ! C'était les beaux jours du martinet qui était à l'honneur !

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : récits
Ecrire un commentaire - Voir les 11 commentaires
Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 09:28

Tous les ans, dès la fin des classes, Maman nous emmenait ma sœur Nathalie, de deux ans mon aînée, et moi passer nos vacances dans la vaste maison de notre grand-mère, idéalement située à côté de la plage et du port d’une petite station bretonne en face des Sept-Iles, où notre père venait nous rejoindre début août.

C’était une joie pour nous de retrouver notre grand-mère, nos deux tantes Sophie et Monique, les sœurs de Maman (comme Papa, nos oncles venaient nous retrouver plus tard), et notre ribambelle de cousins, en particulier ceux qui étaient dans nos âges : Marie qui avait un an de plus que moi et François de deux ans mon cadet. Nous retrouvions aussi – mais avec une joie moindre ! – toujours fidèle au poste et à sa place à côté de la cheminée de la grande salle de séjour, le bon vieux martinet familial qui, après avoir épousseté le derrière et les cuisses des mères, avait repris du service pour les enfants. Nous sentions un brin d’émotion chez Maman et mes tantes lorsqu’elles le revoyaient et évoquaient leurs souvenirs de fessées.

Notre grand-mère, qui vivait seule depuis le décès de son mari, adorait recevoir ses petits-enfants qui lui remplissaient la maison de nos cris et de nos rires.

Dans les trois familles, nous étions tous élevés avec tendresse mais aussi fermeté. C’étaient les vacances et la discipline se relâchait un peu, mais le martinet veillait toujours au grain ! Les repas étaient animés mais, si le ton montait trop ou si les enfants se chamaillaient, il n’était pas rare de voir une des mères décrocher le martinet et nous en menacer pour rétablir le calme… et, le plus souvent, il revenait comme par miracle !

Comme tous les gamins, nous rivalisions pour les bêtises et l’on pouvait voir parfois l’un de nous (ou une, car les filles n’étaient pas épargnées !), nez contre le mur et mains sur la tête, se faire cingler les cuisses avec les lanières du martinet ou assister à une bonne fessée qui rougissait les fesses déculottées de l’un ou de l’autre. Après la punition et le sermon, nous allions méditer quelque temps au piquet sur notre conduite puis venaient le pardon et le câlin. Nous savions que, quel que soit notre âge, nous pouvions tous y passer. Notre tenue facilitait d’ailleurs bien les choses : les filles étaient en petite robe d’été et les garçons jusqu’à 16 ans portaient un short léger quand nous ne finissions pas les culottes courtes que nous ne pouvions plus mettre pour aller à l’école. 

Lorsque nous avions terminé la part des travaux ménagers qui nous était assignée, nous jouions dans le jardin ou sous la pergola, les jours de pluie. Quand il faisait beau, nous allions à la plage retrouver les copains et, tous en cercle allongés sur nos serviettes, nous refaisions le monde. C’est dans le petit bois derrière la plage que j’ai vécu mon premier flirt et mon premier « vrai baiser » avec une fille !

Si le temps ne nous permettait pas toujours de jouer ou de rêvasser à la plage, nous allions néanmoins tous les jours nous baigner même s’il pleuvait. Parfois, nous ressortions de l’eau gelés et avions hâte d’aller nous réchauffer à la maison devant la cuisinière en dégustant un bon bol de chocolat chaud. Une quarantaine d’années après, je garde toujours un souvenir ému de nos goûters ! Je me lèche encore les babines en pensant au bon pain de campagne bien frais, au beurre breton et aux confitures de la grand-mère quand ce n’était pas des crêpes ou un gâteau tout chaud sortant du four.

Les grands avaient la permission de sortir le soir jusqu’à 23 heures, mais nous avions intérêt à revenir à l’heure dite si nous n’avions pas envie que nos mères décrochent le martinet…

Le 14 juillet et le 15 août, le bourg était en fête : les forains venaient avec leurs manèges, leurs stands de tir, de confiseries et le feu d’artifice était suivi d’un bal musette. Pour l’occasion, nous avions la permission de minuit et recevions de l’argent de poche pour nous amuser, mais étions placés sous la responsabilité de ma sœur aînée qui avait pour mission de nous surveiller. Et je peux vous assurer, qu’en digne fille de sa mère, elle savait se faire écouter !

Le 15 août 1971, l’année de mes 16 ans, Nathalie avait déjà donné le signal du départ, lorsque notre amie Florence dont les parents étaient absents, nous invita tous les quatre à venir finir la soirée en fêtant son anniversaire chez elle avec des copains. Nous avons d’abord refusé mais elle insista :

« Vous êtes ballots de vous en faire ! Vos parents dormiront tous à coup sûr et vous n’aurez qu’à rentrer sans faire de bruit ! »

Elle nous fit entrer dans la maison où plusieurs copains et copines de la plage étaient déjà là. Le cidre breton (du vrai, du bouché !) coulait à flots et, bravant l’interdit, nous y avons tous goûté plus que de raison, de même que Marie qui fuma sa première cigarette, déclenchant l’hilarité générale en toussant. La fête battait son plein, le tourne-disque distillait une musique douce et des corps se rapprochaient ! Nous ne voyions pas le temps passer quand, soudain, Nathalie s’apercevant qu’il était près de 2 heures du matin, nous fit lever le camp. Je me sentais un peu « pompette » en remontant sur mon vélo, mais j’étais assez lucide pour espérer que les parents dormaient bien. On rentra doucement, sans faire de bruit, mais un comité d’accueil musclé nous attendait ! Maman, visiblement furieuse, nous salua en donnant une paire de gifles à Nathalie pendant que Tante Monique, de loin la plus sévère des trois mères, revenait avec le martinet à la main.

« Vous avez vu l’heure ! Vous avez plus de deux heures de retard ! Mais vous avez bu et vous sentez le tabac ! Alors que nous nous faisions un sang d’encre en vous attendant. Vos pères ont fait le tour du bourg espérant vous trouver, mais la fête foraine était déjà terminée. Ils sont passés par la plage où ils ont vu des jeunes, mais pas vous ! Où étiez-vous donc ? »

Elle prit le martinet des mains de sa sœur et nous en cingla sévèrement les cuisses.

« Ce n’est qu’un acompte ! Vous ne perdez rien pour attendre et nous règlerons les comptes tout à l’heure ! Maintenant au lit ! Et ne faites pas de bruit pour ne pas réveiller les petits ! »

Tante Monique en rajouta :

« Il faut que l’on en discute mais je pense que vous êtes tous bons pour une sacrée rouste ! »

Maman renchérit :

« Nathalie, tu es l’aînée et tu étais responsable ! Tu vas voir la raclée que tu vas prendre. Je sais bien qu’avec toi, j’ai arrêté les fessées pour tes 16 ans mais tu t’es comportée aujourd’hui comme une gamine irresponsable et je me demande si j’ai eu raison ! »

« Mais Maman, on était chez Florence qui fêtait son anniversaire. »

« Tu aurais pu nous prévenir ! Il y a le téléphone chez elle, je crois ! »

« Excuse-moi Maman, mais je ne voulais pas vous réveiller. »

« Sans nous dire ce que vous faisiez, vous nous laissiez craindre le pire ! Peut-être que vous avez eu un accident et que vous êtes à l’hôpital ! A 18 ans, on doit être raisonnable et responsable, ma fille ! Tu peux préparer tes fesses, jamais plus tu ne me referas un truc comme ça. Maintenant, ça suffit ! Assez discuté ! Bonne nuit à tous, enfin le peu qu’il en reste ! »

On monta se coucher, mais dans la chambre François et moi avions du mal à nous endormir et avons parlé de la volée qui nous attendait.

Le lendemain fut glacial. Aucun adulte ne nous adressait la parole. Après le dîner, tandis que mes tantes montaient coucher les petits, Maman nous parla enfin :

« Vous vous doutez bien qu’il n’y a pas de sortie pour vous ce soir ! Vous avez du sommeil à rattraper ! Montez vous mettre en pyjama ou en chemise de nuit et revenez dans une demi-heure pour que nous puissions régler nos comptes ! »

François et moi étions descendus les premiers et attendions au bas de l’escalier. Quelques instants plus tard, Nathalie en chemise de nuit blanche longue et Marie dans un pyjama bleu à petites fleurs nous rejoignirent. Nathalie descendait l’escalier les bras croisés devant pour éviter que ses seins ne ballottent. Elle faisait en effet un complexe sur sa poitrine qu’elle trouvait trop opulente à son gré (une phobie d’adolescente car elle avait un bien joli décolleté !).

Peu après, Papa vint nous chercher. Quelle mise en scène ! Les parents étaient en ligne, comme au spectacle, assis sur des chaises, avec au milieu la grand-mère qui présidait sur son fauteuil. Ils avaient placé au centre de la pièce la « chaise à fessée », une solide chaise métallique verte de jardin qui ne servait que pour les fessées magistrales et, à côté sur le sol, bien sûr le martinet mais aussi cette horrible badine de jonc que Tante Monique utilisait dans les cas extrêmes sur le derrière de François. Tout était réuni pour nous déstabiliser !

Nous étions tous les quatre debout devant eux quand le verdict tomba de la bouche de la grand-mère. Elle nous expliqua que nous étions tous coupables et que nous méritions tous une bonne fessée à la main qui serait complétée en fonction de notre âge et de notre responsabilité par une correction au martinet ou même à la badine. Nathalie, l’ainée, recevrait 20 coups de badine et 30 coups de martinet, Marie, qui aurait dû la rappeler à ses devoirs, 50 coups de martinet, moi Bruno, 30 et notre jeune cousin François, 10. Elle ajouta que nous ne serions punis qu’en présence des seules mères et que, pour sauvegarder notre pudeur et éviter des réactions visibles et incongrues des garçons, nous passerions chacun notre tour pendant que les autres attendraient dans le vestibule.

Elle garda Nathalie pendant que les pères se retiraient et nous ordonna d’attendre notre tour nez au mur ! François sortit le dernier et voulut fermer la porte derrière lui mais il fut rappelé à l’ordre vertement par sa mère :

« Laisse cette porte ouverte, François ! Nous voulons que vous sachiez ce qui vous attend. »

J’étais effondré : je ne me souvenais pas d’une telle raclée ! Je plaignais ma pauvre sœur condamnée à une peine si sévère. Jamais nous nous réjouissions de la punition de l’autre – d’ailleurs, Maman ne l’aurait pas toléré – mais privilégions la compassion !

Je compris aussi que nos mères n’avaient pas oublié le relief que faisait mon short, preuve que le spectacle de la sévère fessée publique infligée deux ans plus tôt à ma cousine, ne m’avait pas laissé indifférent. Un ordre de Tante Sophie me rappela à la triste réalité :

« Nathalie, enlève-moi cette chemise de nuit ! Maintenant viens sur mes genoux ! »

Je pensais alors :

« Elle a quand même de la chance que ce soit Tante Sophie qui s’occupe d’elle, c’est la moins sévère des trois et elle a faible pour elle. Pourvu qu’elle le fasse jusqu’au bout ! »

Ma tante était une femme robuste et j’entendais le bruit caractéristique de fortes claques bien espacées tombant sur la peau nue et, en écho, Nathalie qui criait, gémissait et la suppliait d’arrêter. Peine perdue ! La sévère fessée continuait inlassablement. A un moment, Maman répondit à ses suppliques :

« A 18 ans, tu t’es comportée comme une petite écervelée, alors ne t’étonnes pas d’être punie comme une gamine ! Et n’oublie pas que tant que tu resteras sous le toit familial, tu recevras la fessée si tu la mérites ! A toi de faire ce qu’il faut »

Soudain, un bruit différent se fit entendre comme un objet dur tombant sur le parquet, je compris que Nathalie avait perdu une mule. Je me l’imaginais sur les genoux de ma tante, les cuisses et les fesses rougies par la fessée espérant atténuer la douleur en gigotant et battant des jambes dans des mouvements désordonnés, quitte à dévoiler son intimité. Quand l’averse de claquées s’arrêta enfin, je me doutais bien que les fesses et les cuisses de Nathalie lui brûlaient déjà, mais le pire était encore à venir.

Après quelque temps d’un silence glacial entrecoupé par des sanglots, ma tante lui ordonna de se relever et d’aller prendre appui sur la table pour la suite de sa punition. Ma grande sœur gémissait encore qu’un claquement sec résonna à nos oreilles suivi immédiatement d’un déchirant cri de douleur. Les coups suivants, bien espacés, me parurent moins appuyés, ce qui n’empêcha pas Nathalie de hurler à chacun d’eux. Tante Sophie, qui avait une affection particulière pour Nathalie dont elle était la marraine, avait dû modérer sa force après avoir vu l’effet qu’avait fait le premier coup de cet instrument barbare qu’elle n’utilisait pas pour punir ses enfants. Après un silence seulement entrecoupé de gémissements pitoyables, Tante Sophie estima :

« Elle a déjà reçu une bonne correction »

Mais Maman lui coupa la parole :

« Je te connais ! Tu voudrais bien arrêter la punition de ta petite chérie ! Mais ce ne serait pas lui rendre service ! Il n’est pas question de la dispenser du martinet ! »

Très vite, le martinet entrait en branle tandis que ma sœur hurlait de toutes ses forces. Je reconnaissais, en effet, un bruit qui m’était familier pour l’avoir entendu, plus souvent qu’à mon tour, quand les lanières de cuir cinglaient ma croupe. Peu avant la fin, Tante Sophie l’encouragea :

« Courage ma belle, c’est bientôt fini ! »

Bientôt, la fessée prenait fin et on n’entendit plus que le sermon de Maman sur un fond de gémissements et de reniflements :

« J’espère que tu deviendras une adulte. Il y a longtemps que je n’avais rien à te reprocher et si on t’a fouettée aussi sévèrement aujourd’hui, c’est que tu l’as mérité. Tu es bien d’accord ? »

Après un petit « Oui Maman ! » qui sortit entre deux sanglots, Maman continua :

« Crois-moi bien, on ne l’a pas fait pour le plaisir mais si on te donne une responsabilité c’est que l’on t’en croit capable. Tu nous as tous déçus. Maintenant c’est oublié ! Viens nous embrasser. »

Maman l’autorisa à remettre sa chemise de nuit et l’envoya se coucher en lui promettant de monter la soigner. Elle appela Marie tandis que Nathalie sortait en larmes. Je me hasardai à l’interroger d’un signe du menton et elle troussa sa chemise de nuit pour me montrer l’état de son arrière. Ses fesses étaient rouges et striées par les lanières du martinet et balafrées par la badine, mais notre tante avait dû seulement viser les fesses, et ses cuisses n’étaient pratiquement pas marquées. Elle pourrait donc, dès le lendemain, se mettre en maillot de bain sans attirer les regards amusés des uns, apitoyés des autres !

Marie était une grande et belle jeune-fille avec un joli derrière bien rond mais pas beaucoup de poitrine. Elle aussi complexait sur ses seins qu’elle jugeait trop petits contrairement à ma sœur. Ah ces filles qui ne sont jamais satisfaites de leur corps ! J’en « pinçais » depuis toujours pour elle et je lui avais déclaré un jour ma flamme mais elle m’avait répondu qu’elle m’aimait « comme un frère » !

C’est Maman qui l’a prise « en mains » et j’entendis très vite, répondant aux claques, les cris de ma cousine, bientôt entrecoupés de sanglots et de suppliques et je m’imaginais son popotin dodu rosir, puis rougir sous l’effet des claquées. Je rageais d’être privé du spectacle !

Je fus ramené sur terre par des cris plus aigus et de gros sanglots provoqués par les cinglades du martinet. Marie était douillette et Maman était une sacrée fouetteuse, ma croupe en sait quelque chose !

Après le pardon et le baiser de paix, Marie sortit en larmes, s’essuyant les yeux d’une main et, de l’autre, se massant le derrière pour en atténuer la cuisson.

Ce fut alors à moi. En me déculottant, je sentais mes joues s’empourprer de honte d’avoir à dévoiler mon anatomie devant toutes ces femmes avant que celles du bas ne s’empourprent à leur tout ! Comme je le pressentais, ce fut Tante Monique, la terrible, qui me donna une fessée retentissante et mes 30 coups de martinet bien appuyés qui, bien sûr, me firent crier de douleur et sangloter. J’étais en larmes quand le déluge de cinglades s’arrêta. Tante Monique m’autorisa à remonter mon pantalon de pyjama et Maman m’expliqua que j’avais été puni moi aussi car j’aurais dû raisonner ma sœur. Je montais dans notre chambre les fesses en feu en me massant énergiquement le derrière espérant en atténuer la cuisson, fol espoir !

Peu après, alors que j’étais couché sur le ventre, les fesses à l’air car je ne pouvais supporter le contact de mon pantalon sur mon derrière meurtri, François vint me rejoindre, se frottant lui aussi la croupe. Il n’eut que le temps de me confier que c’était Grand-Mère qui lui avait donné sa fessée et de rajouter en souriant qu’il avait eu bien de la chance de tomber sur elle, car « la pauvre, elle n’avait plus beaucoup de force » tandis que moi… Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase car Tante Sophie entrait avec des serviettes humides et de la pommade pour apaiser nos arrières.

Le lendemain, notre vie insouciante d’ados en vacances reprit son cours normal et nous eûmes de la chance que la pluie nous empêche de paresser sur la plage et qu’aucun de nos copains ne soit au courant de la « fête » très spéciale qui nous avait été réservée.

Je me rappellerai toujours nos vacances chez la grand-mère, nos parties de pêche, nos pique-niques aux Sept-Iles qui n’étaient pas encore une réserve classée et où nous pouvions approcher les phoques et les pingouins nains

Nous évoquons encore cette période heureuse de notre enfance entre cousins. Nous n’avons jamais été traumatisés par les fessées que nous avons reçues et nous ne sommes pas devenus violents !

Nous sommes une génération responsable et avons tous réussi notre vie d’adulte.

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : récits
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 16 avril 6 16 /04 /Avr 22:54
C'est dans les années 1970 et 1980 qu'apparaissent les premèrs magazines entièrement consacrés à la fessée et plus généralement à "l'éducation anglaise". Ces magazines sont reconnaissables entre tous, il s'en dégage une atmosphère "so british" où au travers de photostoies bien écrites et richement illustrées, les fessées, l"ambiance de la punition sont parfaitement rendues que se soit par des dessins, des photos majoritairement en noir et blanc (édition oblige) avec quelques photos en couleur.



Dans la plupart de ces magazines, les fessées sont simulées et souvent les fesses ne sont pas ou très peu marquées, cela en fait un de leur charme ! D'utant plus que les modèles, exclusivement féminines sont adorables.



J'espère que comme moi vous apprécierez ces photos tirées des magazines tels que BLUSHES, FEBRUS, JANUS, ROUE ou SWICH... pour en savoir plus n'hésitez pas à aller voir sur le blog "British Spanking Mags"



 

BLUSHES








La pagination de tout ces magazines est souvent recherchée, l'édition sur papier de qualité









 

FEBRUS



Ces dessins ont faits sa renommée...







JANUS



C'est l'incontournable, le must de ce genre de magazines, une référence universelle avec dans un autre style les publications américaines de Nu-West.....







A l'époque le prix de 6 Livres sterling était déjà très élevé !














 

Il arrive quand même parfois que les modèles de JANUS se retrouvent avec les fesses rouges.
























PHOENIX

 
ROUE

SWISH


 

 


Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 16 avril 6 16 /04 /Avr 22:00

Il est donc normal de consacrer cette rubrique à l'un des thèmes les plus abordés dans l'univers de la fessée, la fessée administrée aux "écolières" mais plus particulièrement aux grandes !

 

Que ce soit par une directrice d'établissement, un professeur et encore plus suvent par des parents mécontents de l'attitude ou des résultats scolaires de leur fille, la fessée plus ou moins sévère est toujours un tableau de choix...




 

Souvent ressemblant plus à un fantasme qu'à la réalité objective (les étude smontrent que c'étaient surtout les garçons qui étaient corrigés), les filles recevant très rarement la fessée scolaire et encore plus rarement "on the bare bonttom" c'est je l'avoue sans honte un de mes fantasmes....


 

Cette rubrque présente un florilège heureusement non exhaustif de ces fessées....

ABIGAIL
Fessée paternelle pour 4 absences injustifiées dans le mois


 

Il lui faudra encore quelques temps pour apprécier les effets bénéfiques d'une telle punition..


 

CAROLYN

Un acrobatique strapping administré par le directeur d'établissement pour une atttitude indécente au collège...



DAISY
Fessée par son professeur principal pour avoir recopiée un devoir d'une autre élève...

 


 


 

12 coups de lanières supplémentaires por ne pas avoir tout de suite reconnu les faits


ELLY
Fessée paternelle à la fin d'un trimestre scolaire désastreux. La tentative de falsification de ce buletin li vaudra de goûter pour la première fois à la cane







KAREN
Fessée et strapping paternel pour incivilités répétées

MARY
Une convocation par la directrice dans la bibliothèque après la fin des cours n'est pas bon signe !Mary sera fessée et recevra la cane pour mensonges.
RENEE
Quand une élève doit être punie corporellement par un professeur masculin, la présence de deux témoins est obligatoire... Mary sera fessée devant sa délégué de classe et sa professeur d'anglais.



La présence de 2 témoins n'arrange rien !
RENEE
Quand une élève doit être punie corporellement par un professeur masculin, la présence de deux témoins est obligatoire... Mary sera fessée devant sa délégué de classe et sa professeur d'anglais.



La présence de 2 témoins n'arrange rien !
WENDY
5 coups de cane pour agression verbale envers une surveillante..
JENNY et THERESA
Accusées de fraude lors d'un examen, les deux recevront une fessée administrées avec une chaussure de sport en attendant l'arrivée d eleurs parents

Les 2 "PREFECTS"
Le titre envié de prefects ne vous met pas à l'abri de la fessée. Bien au contraire il faut être irrérochable...les deux ayant été trouvées dans un pièce en galante compagnie leur vaut une humiliante fessée


Etre "prefect" ne vous dispense pas de la fessée....
TRIPLE PUNITION
Une punition collective n'est pas moins dure à supporter...


DORTOIR n°4
Ces 6 pensionnaires ne semblent pas avoir bien compris le réglèment...il est interdit de ressortir après 20 heures... Le lendemain matin un rappel aux fondamentaux est organisé par le directeur d'internat.
En ligne elles attendent leur tour...
La denière aura ele aussi droit à une solide fessée...
Rassurez vous Mesdames, les "schoolboys" sont logés à la même enseigne


La discipline dans un collège de garçons

 


 

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 14 avril 4 14 /04 /Avr 15:26

pasmal.jpg

 

La fessée est un châtiment corporel consistant en une série de claques ou de coups administrés sur les fesses.

Mode d'emploi

 

Pour administrer une fessée il a quatre règles de base : la première étant de bien positionner la personne. Si la fessée au moyen d'objet peut s'administrer dans pratiquement n'importe quelle position, la fessée à la main s'administre de préférence comme suit :
- la victime se couche sur les genoux du fesseur.
- la victime se couche sur un canapé, un lit, voire sur le sol
- la victime reste debout et s'arcboute contre une table, un bureau...

La main

Le deuxième point important est de bien ouvrir la main, sinon la fessée deviens un coup de poing (ce qui n'a rien à voir) de plus le coup de poing ne laisse pas la même marque sur la fesse. L'autre point très important est bien évidemment l'élan donné à la main, et quatrièmement, bien penser à prévenir la personne de votre projet pour qu'elle ne se retourne pas au dernier moment.

Objets dédiées

Martinet, cravache, paddle, cane anglaise, badine, orties...

Objets contondants

Règle en bois, cuillère en bois, brosse à cheveux, journal gratuit (et roulé)(1), torchon mouillé, planche à découper, raquette de jokari, massue, rail de chemin de fer, pylône électrique...

Fessée privée ou fessée publique

 

A la douleur physique du châtiment, peut s'ajouter de par la volonté du fesseur celui de l'humiliation publique. Ainsi se faire fesser par sa Directrice des Ressources Humaines dans son bureau devant sa secrétaire lesbienne peut être très excitant mais se faire fesser par sa Directrice des Ressources Humaines le midi à cul nu, en plein milieu de la cantine, ça c'est c'est vraiment l'extase

Convenances

La fessée doit rester une fessée et ne doit pas évoluer vers des jeux érotiques que la morale réprouverait. Ainsi le fesseur (ou la fesseuse) se doit de s'abstenir de foutre un doigt dans le cul de sa victime afin de respecter les bonnes manières.

Philosophie et fessée

La dimension philosophique de la fessée a été fort bien expliqué par Jean-Jacques Rousseau dans les rêveries d'un masturbateur solitaire, il raconte ainsi la fessée que lui a donnée mademoiselle Lambercier et qui l'a fait bander comme un âne, puis ses rapports avec mademoiselle Goton avec qui il jouait à la maîtresse d'école.

La fessée masochiste


Peut se pratiquer en couple (légitime ou pas) où en payant les services d'une maîtresse fesseuse, et si vous avez beaucoup de sous demandez à Pénélope Cruz, elle doit faire ça très bien !

Citations

J'ai une fessée rentrée dans le creux de ma main. (Raymond Queneau)
Vas-y c'est bon (Jean-Jacques Rousseau)
En mai fesse qu'il te plaît (proverbe bas picard)
Prenez un cercle, fessez-le, il deviendra vicieux. (Eugene Ionesco)
La fessée est un supplice pour les enfants et un délice pour les adultes.(Lao Tseu)

Et voici d'autres images, que vous pouvez agrandir d'un coup de clic.

 

MaxErnst1926.jpg

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : L'art de la fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog de Ange_et_demon-Comte-Vlad
  • Le blog de Ange_et_demon-Comte-Vlad
  • :
  • : La fessée sous toutes ses formes. A la main bien sur qui est à mon sens la plus forte en sensations à cause de contact..... mais aussi martinet, badine, paddle, cravache, fouet..............
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Images Aléatoires

  • 122864071341
  • 128506075182
  • artimage 457514 3159893 201101152922877
  • 122864072686
  • 122864066661
  • artimage 457514 3159888 201101152720337
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés