Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 13:06

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Prise de vu insolite par-dessus de l’épaule du monsieur. Mise en scène qui laisse supposer un témoin invisible qui assiste en toute discrétion à la scène.


Quand il s’agit d’un cadre ludique, la situation me laisse assez indifférente. J’aurais l’impression d’assister aux ébats coquins d’un couple qui ne me regardent pas. Mon imagination n’arrive pas à se mettre en route et je continue mon chemin.


Par contre quand il y toute la panoplie qui constitue à mes yeux le prélude d’une bonne fessée, ma curiosité se réveille. D’abord il me faut une « faute » de la dame qui me parait crédible. Non pas un contexte primaire comme un vase en cristal cassé ou un excès de vitesse. Dans le premier cas la fessée ne va pas reconstruire le vase et dans le deuxième cas je verrais simplement un comportement de plus irresponsable et surtout potentiellement dangereux pour autrui de la part de la dame.


Ma conception de fautes qui méritent fessée est purement subjective. Elle ne coïncide pas avec les conventions sociales. En haut de ma liste se trouvent les incidents qui perturbent la bonne attente d’un couple. Notamment quand la dame cherche des disputes avec son compagnon lors d’une soirée entre amis. C’est très pénible pour les autres personnes. Et je plains beaucoup les messieurs qui se laissent faire. Je ne revendique pas la fessée comme remède universel. Mais à table, en face d’une telle dame, je pense souvent :

 

Une bonne fessée ne lui ferait pas de mal !


Au lieu de me laisser gâcher la soirée, je pars dans mes rêveries. J’imagine ce qui pourrait se passer chez ce couple. Une fois rentré à la maison. Notamment quand il s’agit de dames particulièrement pénibles ou hautaines. Ce qui va souvent de paire.


La situation sur le dessin dépasse un peu mon monde fantasmatique. Trop scolaire suggéré par les vêtements. Et l’émoustillement d’une fessée pour mauvaises notes ou fautes d’orthographe m’est inaccessible.


Mais ce qui est merveilleux avec les fantasmes c’est qu’ils sont facilement adaptables à d’autres situations. Dommage seulement qu’on trouve de nos jours si peu de dessins qui mettent en relief une bonne fessée appliquée à une vraie femme. Pourquoi toujours cette attitude d’infantiliser par les habits ?


J’ai l’impression que la fessée cinématographique tient mieux compte du désir féminin. Et là, je regarde avec plaisir…

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : Dessins
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Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 12:54

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941.1.1.jpg Une ambiance d’internat des années 50. Des grandes filles qui fument en cachette et subitement la surveillante générale qui surgit en brandissant la badine. C’est un support « multi fantasme » à mes yeux. Et chacun peut y projeter ce qui lui tente le plus. C’est cela l’avantage du suggestif. Je n’aime pas trop les culs de sac fantasmatiques prêt à consommer.


 

D’abord n’oublions pas qu’en ces temps-là, la fessée constituait quasiment le seul moyen de voir de près ce qui se cachait sous les jupes de filles. Et les messieurs d’un « certain âge » ayant aperçu dans leur tendre jeunesse par ce biais pour la première fois une culotte féminine sur une jeune fille ne sont pas aussi rares que l’on imagine. Surtout dans la génération qui a précédé celle de mon homme. Constat un peu amer :

 

941.2.JPG Sinon dans les années 50 et jusqu’à la fin des années 60 rien n’était possible autrement à ce niveau-là.


Il n’est pas dit que le vécu d’une telle situation génère un véritable fantasme de fessée. Mais ce qui me semble sur, c’est le fait que la petite culotte ou le haut d’un bas qui se dévoile par un mouvement maladroit laisse peu d’hommes indifférents.


Je ne pense pas que ce film contienne une véritable scène de fessée. Il s’agit d’un extrait de la quintalogie de St Trinians. Petites œuvres sans prétention, tournés entre 1953 et 1980 qui mettent en relief les aventures de filles turbulentes dans un collège anglais. Il en existe même deux versions modernes. D’après ce que je sais et ce que j’ai vu, ce sont des films culte de certains messieurs nostalgiques qui vouent une passion aux femmes qui portent des bas. Ayant un pur spécimen de ce genre à la maison, il en va de soi que je poste pas mal de matériel dans ce sens.

 

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Variation sur le thème de l’écolière, mais ici sans le moindre doute il s’agit de femmes adultes. Je dirais que le contexte d’écolière dans ce film n’était que prétexte pour que les dames portent d’aussi courtes tenues à une époque qui était encore bien pudique. Bien avant l’arrivée de la minijupe. Ce qui donne un étrange charme à ces films. L’action en soi est anodine. Mais vu les courtes tenues il y a multitude de scènes qui mettent en relief les hauts de bas et parfois des culottes aussi. De quoi à bien amuser l’ancien ado qui sommeille en mon homme et qui ne loupait pas une en son temps pour un aperçu inespéré sous les jupes de filles. J’imagine parfaitement sa tête et son bonheur quand cela était couronné de succès. Car sur ce point il n’a pas changé du tout.


J’aime me mettre de temps en temps en jupes ou robes bien courtes à la maison. Sans que ce soit une obligation. Et je ne me prive pas des petits gestes « maladroits ». Ils me viennent même tout naturellement. Surtout quand je fais le ménage. Quand je m’assois. Quand je m’étire sur mon canapé. Ou quand je me mets à danser en écoutant de la musique.

 

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Le haut d’un bas ou la naissance de la culotte marque dans certains fantasmes « un seuil » qui stimule aussitôt l’imaginaire et qui s’exprime par un agréable émoustillement. Au niveau de la fessée on peut associer y facilement des règles de bonne conduite. Que ce soit par la couleur de la culotte, de son tissu, de sa forme par exemple. C’est une variante originale du seuil de la porte qui met des interdits bien personnels en scène. Il suffit d’écouter attentivement le monsieur quand il parle de son monde intérieur.

 

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Comme disait Sophia Loren :


La fantaisie d’un homme est le meilleur allié de la femme !


Il suffit simplement de connaître cette fantaisie et de se moquer ouvertement du politiquement correct qui essaye dans ce cas d’associer un comportement quelque peu provocant de la dame à un statut d’objet. Pour moi, le jeu du haut du bas et de la petite culotte qui se dévoile, c’est du bon enfant. Qui va très bien avec la discipline domestique dont le but majeur à mes yeux n’est pas forcement la fessée, ni une prise en compte trop sérieuse des règles du ménage, mais de plaire à son partenaire.  

 

Et moins qu’un scrupuleux respect pour la discipline domestique, si la dame porte des sous-vêtements suggestives à longueur de journée, il faut y voir …une preuve d’amour. Pour faire plaisir à son homme. Je pense qu’une bonne partie de conventions DD comporte de tels éléments. De là considérer cela comme un signe de soumission, me semble passer un peu à côté de la psychologie féminine.

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : La canne
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Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 12:51

1039.jpg Photo : © Janus 


J’avais « perdu » cette image dans mes archives sans le courage de la chercher. Il y a trop de matériel et cela prendrait au moins une journée entière. Puis j’ai un nouveau programme depuis ce matin qui m’aide à visualiser le contenu de mes archives sans devoir cliquer. Petite invention bien utile.


Pour moi, c’est une des meilleures photos fessée que je connaisse.

Elle fait partie d’une jolie série très douce qui raconte une petite histoire sans se perdre dans des détails inutiles à mes yeux. Veut dire un acte de fessée trop virulent. C’est peut-être pour cette raison que je préfère du « posé » au « réaliste ».

 

La canne fait peur à pas mal de personnes. Et comme je les comprends. Je ne parle pas d’une petite peur frissonnante devant l’inconnu et qui reflète un désir à accomplir. Non, je pense à une peur bien concrète qui tue le plaisir et même la moindre émotion. Ce n’est pas un truc spécial fille. Quand je vois mon homme qui aime bien de temps en temps me corriger avec la canne, le terme précaution est faible. Entre un émoustillement fantasmatique qui laisse libre cours à l’usage de la canne et un fessier féminin devant soi, en chair et en os, il y a une grande différence.


Quand je vois certaines photos sur le net, cet instrument perd aussitôt tout son charme à mes yeux. Il pointe vers des pratiques qui ne me correspondent pas. Pourtant cela rentre aussi dans la dénomination fessée.


Je connais la fessée « en vrai » et loin de moi de pouvoir éprouver quoique ce soit quand les/mes bornes sont dépassées. Un clic, c’est le cas de le dire, et je suis ailleurs. Dans un autre univers. Qui correspond mieux à mes attentes.


Et pourtant…ma fascination pour la canne ne se résume pas uniquement à mes rêveries. Il y a pas mal de non-dits que je n’ai pas encore abordés.

 

Une fessée punitive à la canne, même modérée comme je la conçois, provoque dans certaines limites un réel changement dans mes comportements et attitudes. Pour le moins qu’on puisse dire l’effet est éducatif. J’ai un peu de temps devant moi cette semaine et je reviendrai à ce sujet…

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : La canne
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Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 12:35

1026.jpg Même si vous vous aimez profondément, une petite fessée de temps en temps ne fait pas de mal à la dame.


 

Sorte de « sagesse » d‘antan. Mais déjà plus un fantasme que de la réalité dans mon pays au début du siècle dernier.


Le droit de fesser sa femme, avec modération comme insistait la loi, existait dans le droit prussien jusqu’en 1812. Dans le droit bavarois jusqu’en 1896.


Il est intéressant à noter qu’il existe maints écrits dans la grande littérature allemande qui parlent de la fessée explicitement érotique dans le couple. Seulement ce n’est pas le monsieur qui s’en charge de l’appliquer, mais la dame. Et je ne compte plus le nombre de cartes postales anciennes que je connais dans ce sens. Celle que je vous montre rentre dans la catégorie raretés. Révélateur pour la société allemande avant guerre ? Je ne saurais le dire.

 

Par contre je sais bien (en parlant de l’Allemagne) combien de dames se trouvent devant le désir de leur homme de recevoir pour sa part une bonne fessée.


Peut-être un effet pervers du féminisme à l’allemande et poussé à l’extrême. Et quand je parle avec mes copines, inverser les rôles veut simplement dire que c’est enfin pour une fois la dame qui reçoit…

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : Autour de la fessée
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Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 12:31

Quand la nudité devient pesante

 

Je vais alors dans cette série d’articles me pencher un peu sur l’approche dite contextuelle, celle qui nous intéresse sur un point de vue distractif. Elle inclut tout le folklore, rationalisations et raisonnements qui donnent à mon avis le vrai charme à la pratique de l’éducation anglaise et qui la considère tout simplement comme un mode vie basé sur des principes spéciaux.

J’utiliserai par la suite éducation anglaise et discipline domestique telles qu’avant comme des presque synonymes pour faciliter et agrémenter la lecture.

La discipline domestique et l’éducation anglaise provoque un basculement de la réalité. J’aime et je recherche ce basculement, ce (pseudo)sérieux qui donne un piquant supplémentaire à une simple mise en scène, à la base ludique.

Quand on passe de la fessée érotique à la fessée punitive, il faut un temps d’adaptation pour bien comprendre ce qui nous arrive.

Certains auteurs conseillent de débuter la discipline domestique par une fessée introductrice pour mettre les pendules de la dame à l’heure qu’elle comprenne bien que désormais les règles à la maison ont bien changées.

 

Avec le recul je suis d’accord avec ce conseil et j’aurais préféré de débuter ma nouvelle vie ainsi. Mais monsieur ne punit que sur faute. Et il est inutile de toucher à ses principes. Puis de toute façon c’est lui en chef de la maison qui décide.

Notre relation était encore toute fraîche et je me demandais comment il allait s’y prendre.

Curieuse, je me suis comportée en gamine rien que pour le tester, ce qui ne me correspond pas du tout d’habitude.

Je n’ai fait qu’un seul test. Ma première fessée punitive fut si convaincante que l’envie de recommencer ne s’est plus présentée. Monsieur n’est pas une brute, mais il sait se faire respecter clairement quand il le faut. J’ai eu droit à ma belle strape toute neuve et plus tard quand je suis sortie du coin plus rien n’était comme avant. J’avais terriblement mal aux fesses, pas la moindre sensation érotique en vue et je réalisais que désormais il fallait filer droit pour de bon.

J’ai dû pour la fin de journée rester en sous-vêtements et exposer mon fessier tout nu au bon plaisir de monsieur. Cet aspect de ma punition correspond bien à mon avis sur pas mal d’hommes. Ce sont des grands enfants qui aiment voir les résultats de leurs actes. Corriger une partenaire récalcitrante est un acte sain et jouissif selon moi qui élimine des tensions non-dits au sein d’un couple. Quoi de plus normal alors que le monsieur se réjouit des marques du châtiment, signe visible des sa nouvelle autorité.

Jusque ce jour j’ai toujours eu un rapport naturel avec ma nudité. Mais ma punition avait provoqué un changement radical. Je me suis sentie très mal à l’aise avec mes globes striés à l’air. Puis quand mon homme m’annonça que la prochaine fois je serais disciplinée toute nue pour bien prendre conscience qui commande dans notre maison et qui est en besoin d’éducation, j’ai rougi en me sentant toute petite. Je commençais à entrapercevoir la réalité de la place que j’avais tant convoitée.

Il a remarqué tout de suite ma réaction en me disant : Voila un premier pas vers la fille modèle. Une bonne éducation anglaise porte ses fruits uniquement si elle rougit autant le visage par la honte que le derrière par les claques.

J’ai pu me rendre compte très vite sur moi-même que l’éducation anglaise est une relation de transfert à part entière. En quelques jours et quelques corrections plus tard le rapport éducatif s’était installé tout naturellement entre moi et mon homme. Je ne mettais plus son autorité en question et me découvrais vite des comportements que je n’avais jamais crus possibles sur moi. Cette expérience sur mon adaptation aux nouvelles règles de jeu me parait singulièrement interessante. Elle met radicalement en cause les grandes idées qu’on se fait sur soi et de sa soi-disant maturité d’adulte. J’adaptais vite un comportement semblable à une crise d’adolescence tardive en prenant systématiquement le contre-pied peu importe ce que mon homme proposait. Même quand il n’y avait aucun rapport avec mon éducation anglaise.

J’ai constaté le basculement de la réalité d’abord par une nouvelle approche à ma nudité qui devenait pesante et honteuse dans un contexte punitif. Quand on connaît pas ou peu la honte de la nudité cette expérience est extrêmement troublante. Il est bien différent de présenter son fessier nu à un homme pour des douces caresses que pour une expérience douloureuse qui est sensée de corriger les mauvais comportements en vue d’une amélioration durable.

C’est l’élément « durable « ou « désormais» qui sème une bonne partie du trouble et l’acceptation intégrer des « nouvelles valeurs ». En étant adulte, l’éducation est reprise un peu à zero. Et pas n’importe laquelle, style laxiste ou de manière explicative, mais autoritaire.

Les interdictions et règlement ne se discutent pas. Soit on obéit, soit on est punie.

Il m’est arrivé à maintes reprises de faire l’entêtée en refusant de baisser ma culotte, en protestant vivement contre un traitement indigne ne moi. De vouloir négocier sérieusement à garder certains vêtements. De me mettre en larmes en suppliant de ne pas me mettre complètement à nue et ainsi de suite.

Monsieur restait inflexible au chantage et j’ai dû apprendre à chercher la strape toute nue avant de m’allonger sur les genoux de mon homme.

Une punition est toujours douloureuse, cela va de soi. Mais mon homme ne perds pas de vue l’effet éducatif. Il a le flair de doser avec justesse mes corrections pour que amélioration durable s’en suive. Avec lui je ne connais pas le derrière dans un sale état comme on voit dans certains films et sa distinction personnelle entre sévérité et cruauté me convient parfaitement.

C’est un excellent éducateur pour « filles adultes » et ses méthodes livrent d’excellents résultats.

Il m’est arrivé aussi après des cuisantes corrections de m’en prendre à l’instrument de ma discipline. Stade de transfert particulièrement important car il implique déjà l’acceptation de l’autorité par l’inconscient.

Je me suis mise à trépigner furieusement la strape en poussant même des insultes envers cet objet.

Le fou rire de mon homme agrandissait encore ma colère

« Tu devrait te voir, Isabelle », m’a-t-il lancé.

Simple réflexion qui mets les pendules à l’heure. Une femme adulte toute nue, les fesses marquées par la discipline, le maquillage coulé et qui s’acharne sur un morceau de cuir. Il y a en effet de quoi à éclater de rire pour l’un et de rougir d’une honte encore plus intense pour l’autre.

Cela ne m’as empêchée de commettre d’autres gamineries par la suite. Cacher la strape, couper les lanières du martinet ou casser la canne.

Je n’ai pas osé à me prendre vraiment à la strape qui était l’instrument majeur de ma nouvelle condition en craignant une punition hors norme surtout.

Monsieur m’a fait durement travailler mon comportement pour apprendre le respect pour les instruments qui sont les représentants de son autorité.

Surtout claquantes fessées à nue et passages au coin. Mais aussi de m’envoyer tôt au lit après application d’un suppositoire calmant et de me munir d’un dispositif qui empêche les « mauvaises habitudes ». Ou encore corvées de ménage.

 

La strape fut accrochée bien visibles à la maison ce qui m’a permise de me familiariser bien avec sa présence au quotidien. L’entretien m’incombait et gare à moi si j’avais oublié de la cirer pour qu’elle brille de partout. Puis s’ajoutèrent le martinet et la canne à côté d’elle.

J’ai pris tellement habitude d’entretenir les instruments qu’il m’est inconcevable de vivre sans eux. Une maison sans martinet surtout me parait vide et je ne me sens pas bien. Je devient infernale jusqu’à ce que mon homme m’accroche au moins un martinet quelque part sans oublier de s’en servir avant. Et la nous sommes carrément dans une névrose artificielle de transfert.

Le point tournant dans mon éducation fut atteint après quelques semaines lors de la préparation d’une punition.

J’étais particulièrement honteuse en présentant la strape pour recevoir ma discipline ce jour-là.

Comme s’il savait, mon homme fit glisser un doigt dans mon entrejambe pour constater l’effet produit en disant :

Je crois que nous sommes sur la bonne voie avec ton éducation. Ton corps approuve le bienfait de la discipline.

Ce jour-là j’ai réussi pour la première fois un mea culpa sincère, convaincue de mes fautes, en remerciant mon homme pour mon éducation anglaise et sa sévérité sans faille.

C’était en décembre 98.

Depuis rien ne me flatte de plus que quand mon homme annonce à des nouveaux amis : ma compagne a reçu une excellente éducation.

Par contre je suis toujours honteuse quand je dois me dévêtir devant mon homme pour une punition.

Sans lui je serais sûrement passée à côté de ce délicieux trouble que mon enfance très (trop) libérale m’avait caché. De l’autre côté je me dis, sans cette enfance libérale, j’aurais peut-être perdu maintes années avant d’oser de vivre ce qui se cache en moi et ceci sans mauvaise conscience et dans le bonheur.

Par Ange_et_demon-Comte-Vlad - Publié dans : Education anglaise
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